Agression rwandaise/AFC/UPDF : Les RDF à Rwindi, les actualités sécuritaires de ce lundi 19/8/24
Après avoir terminé à vendre la logistique( véhicules, maisons préfabriquée, clôtures, lits, moteurs, tôles, pièces de rechanges, fers, etc..) de la MONUSCO abandonnée à Rwindi, les rebelles M23 soutenus par le Rwanda sont entrain de detoler, defixer les portes des maisons de l'ICCN qui étaient déjà construites à Rwindi. Les M23_RDF vendent ces portes à 40 et 60 mille Fc alors que des toles se vendent à 18000fc dans les villages, localités aux alentours de Rwindi affirment nos sources dans la zone. Il faut préciser que ces véhicules, conteneurs, et fers, mitrailles abandonnés par la Monusco lors de la chute de Rwindi sont vendus à des personnes qui les vendent à leur tour en Ouganda.
intensification des renforts du M23-RDF sur plusieurs axes dans le Rusthuru, Masisi et Nyiragongo, Chirack Mafula alerte Alors que le cessez-le-feu obtenu sous l'égide de l'Angola entre la RDC et le Rwanda est en cours depuis le 04 août dernier, la situation sur le terrain demeure préoccupante. Le M23 et ses alliés continuent de consolider leurs positions militaires dans plusieurs localités stratégiques du territoire de Rutshuru, au Nord-Kivu, suscitant l'inquiétude de la société civile locale. C'est Chirack Mafula, président du parlement des jeunes dans la chefferie de Bwito, qui a lancé l'alerte ce samedi 17 août 2024, lors d'un entretien avec Est-Info.org. Selon lui, malgré les efforts diplomatiques en cours, les forces de la coalition composée des éléments du M23, appuyés par les troupes de l'Armée Rwandaise (RDF) et d'autres forces alliées, continuent de se renforcer en hommes et en munitions, notamment à Rutshuru et dans d'autres zones sensibles. Chirack Mafula a rapporté que, depuis la prise de Kanyabayonga, Tayna, et Kirumba à la fin du mois de juin 2024, les rebelles du M23 poursuivent le déploiement de leurs troupes sur plusieurs axes stratégiques. Il a notamment mentionné les axes Kaseghe et Matembe, où les forces rebelles seraient en train de renforcer leurs premières lignes de front en direction de Kirumba et Kanyabayonga. Ce responsable de la jeunesse a exprimé sa vive inquiétude face à cette situation, redoutant une attaque imminente contre les Forces Armées de la RDC (FARDC) et leurs alliés Wazalendo, qui résistent aux avancées des rebelles. Cette alerte intervient dans un contexte où les efforts diplomatiques pour une désescalade du conflit peinent à aboutir à des résultats concrets. Le président angolais João Lourenço, désigné médiateur par la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), multiplie les initiatives pour ramener la paix entre Kinshasa et Kigali. Cependant, la persistance des hostilités sur le terrain laisse présager que la voie vers un cessez-le-feu durable reste encore semée d'embûches.
Le FDLR un autre mensonge du terroriste en chef Paul kagame Des enquêtes de L'ONU et de la RDC démontrent que les combattants FDLR sont recrutés et entraînés par kagame les FDLR capturés 2020 en RDC par l'armée congolaise et renvoyés au Rwanda sont actuellement membres du M23 Kagame utilise les FDLR pour justifier ses actes terroristes en RDC Kagame est Le chef des FDLR, AFC_M23 et Red_Tabara
APRÈS AVOIR MENTI QUE LE PROBLÈME ÉTAIT LE FDLR, KAGAME SE RETROUVE DANS UN PIÈGE ET NE VEUT PAS QUITTER LA RDC Maintenant, tout est clair : Kagame est le déstabilisateur de l'Afrique centrale. À Luanda, les choses ne vont pas bien, et la paix tant recherchée commence à s'évaporer à nouveau. Pour justifier l'envoi de ses troupes au Congo, Kagame utilise la rhétorique du FDLR pour vendre une illusion à ses militaires, mais cela ne tient plus. LE PLAN D'ÉRADICATION DU FDLR BLOQUÉ PAR KAGAME Le président Tshisekedi a joué finement en acceptant d'éliminer le FDLR avec un plan clair. Ce plan a été discuté par les responsables des agences de sécurité de la RDC et du Rwanda. Il était si bien élaboré que l'Angola, la MONUSCO, le Rwanda, la SADC, ainsi que les États-Unis, l'UE et l'UA l'ont tous approuvé. La prochaine étape consistait à obtenir le désengagement des troupes rwandaises du sol congolais Selon l'accord de Luanda, le président Lourenço s'est rendu au Rwanda pour en discuter avec Kagame. Malheureusement, ce dernier n'a accepté que le plan contre le FDLR, mais a refusé de retirer ses militaires. Dans le compte rendu de la SADC, le président Lourenço a clairement expliqué que Kagame est le véritable problème. L'ONU ayant déjà donné son feu vert à la SADC pour envisager l'option militaire si la solution politique réclamée par les États-Unis échoue, la situation pourrait se détériorer rapidement. Le 20 août 2024, les ministres se réuniront à nouveau, et si cela ne fonctionne pas, nous pourrions entrer dans une dimension de guerre totale. La délégation rwandaise qui s'est rendue aux États-Unis pour influencer le gouvernement américain n'a même pas été reçue
Après avoir terminé à vendre la logistique( véhicules, maisons préfabriquée, clôtures, lits, moteurs, tôles, pièces de rechanges, fers, etc..) de la MONUSCO abandonnée à Rwindi, les rebelles M23 soutenus par le Rwanda sont entrain de detoler, defixer les portes des maisons de l'ICCN qui étaient déjà construites à Rwindi. Les M23_RDF vendent ces portes à 40 et 60 mille Fc alors que des toles se vendent à 18000fc dans les villages, localités aux alentours de Rwindi affirment nos sources dans la zone. Il faut préciser que ces véhicules, conteneurs, et fers, mitrailles abandonnés par la Monusco lors de la chute de Rwindi sont vendus à des personnes qui les vendent à leur tour en Ouganda.
intensification des renforts du M23-RDF sur plusieurs axes dans le Rusthuru, Masisi et Nyiragongo, Chirack Mafula alerte Alors que le cessez-le-feu obtenu sous l'égide de l'Angola entre la RDC et le Rwanda est en cours depuis le 04 août dernier, la situation sur le terrain demeure préoccupante. Le M23 et ses alliés continuent de consolider leurs positions militaires dans plusieurs localités stratégiques du territoire de Rutshuru, au Nord-Kivu, suscitant l'inquiétude de la société civile locale. C'est Chirack Mafula, président du parlement des jeunes dans la chefferie de Bwito, qui a lancé l'alerte ce samedi 17 août 2024, lors d'un entretien avec Est-Info.org. Selon lui, malgré les efforts diplomatiques en cours, les forces de la coalition composée des éléments du M23, appuyés par les troupes de l'Armée Rwandaise (RDF) et d'autres forces alliées, continuent de se renforcer en hommes et en munitions, notamment à Rutshuru et dans d'autres zones sensibles. Chirack Mafula a rapporté que, depuis la prise de Kanyabayonga, Tayna, et Kirumba à la fin du mois de juin 2024, les rebelles du M23 poursuivent le déploiement de leurs troupes sur plusieurs axes stratégiques. Il a notamment mentionné les axes Kaseghe et Matembe, où les forces rebelles seraient en train de renforcer leurs premières lignes de front en direction de Kirumba et Kanyabayonga. Ce responsable de la jeunesse a exprimé sa vive inquiétude face à cette situation, redoutant une attaque imminente contre les Forces Armées de la RDC (FARDC) et leurs alliés Wazalendo, qui résistent aux avancées des rebelles. Cette alerte intervient dans un contexte où les efforts diplomatiques pour une désescalade du conflit peinent à aboutir à des résultats concrets. Le président angolais João Lourenço, désigné médiateur par la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), multiplie les initiatives pour ramener la paix entre Kinshasa et Kigali. Cependant, la persistance des hostilités sur le terrain laisse présager que la voie vers un cessez-le-feu durable reste encore semée d'embûches.
Le FDLR un autre mensonge du terroriste en chef Paul kagame Des enquêtes de L'ONU et de la RDC démontrent que les combattants FDLR sont recrutés et entraînés par kagame les FDLR capturés 2020 en RDC par l'armée congolaise et renvoyés au Rwanda sont actuellement membres du M23 Kagame utilise les FDLR pour justifier ses actes terroristes en RDC Kagame est Le chef des FDLR, AFC_M23 et Red_Tabara
APRÈS AVOIR MENTI QUE LE PROBLÈME ÉTAIT LE FDLR, KAGAME SE RETROUVE DANS UN PIÈGE ET NE VEUT PAS QUITTER LA RDC Maintenant, tout est clair : Kagame est le déstabilisateur de l'Afrique centrale. À Luanda, les choses ne vont pas bien, et la paix tant recherchée commence à s'évaporer à nouveau. Pour justifier l'envoi de ses troupes au Congo, Kagame utilise la rhétorique du FDLR pour vendre une illusion à ses militaires, mais cela ne tient plus. LE PLAN D'ÉRADICATION DU FDLR BLOQUÉ PAR KAGAME Le président Tshisekedi a joué finement en acceptant d'éliminer le FDLR avec un plan clair. Ce plan a été discuté par les responsables des agences de sécurité de la RDC et du Rwanda. Il était si bien élaboré que l'Angola, la MONUSCO, le Rwanda, la SADC, ainsi que les États-Unis, l'UE et l'UA l'ont tous approuvé. La prochaine étape consistait à obtenir le désengagement des troupes rwandaises du sol congolais Selon l'accord de Luanda, le président Lourenço s'est rendu au Rwanda pour en discuter avec Kagame. Malheureusement, ce dernier n'a accepté que le plan contre le FDLR, mais a refusé de retirer ses militaires. Dans le compte rendu de la SADC, le président Lourenço a clairement expliqué que Kagame est le véritable problème. L'ONU ayant déjà donné son feu vert à la SADC pour envisager l'option militaire si la solution politique réclamée par les États-Unis échoue, la situation pourrait se détériorer rapidement. Le 20 août 2024, les ministres se réuniront à nouveau, et si cela ne fonctionne pas, nous pourrions entrer dans une dimension de guerre totale. La délégation rwandaise qui s'est rendue aux États-Unis pour influencer le gouvernement américain n'a même pas été reçue
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