Agression Rwandaise et Ougandaise ; la situation sécuritaire de ce 02/02/2024
Il a été signalé que des affrontements violents ont éclaté tôt le matin du vendredi 2 février 2024 entre les rebelles du M23 et les jeunes des groupes armés locaux, connus sous le nom de Wazalendo, sur l'axe Bambo-Nyanzale dans la chefferie de Bwito, située dans le territoire de Rutshuru. Selon diverses sources, les rebelles du M23 ont lancé des assauts sur les positions des Wazalendo près de Mushababwe depuis 4 heures du matin, le long de l'axe menant à Nyanzale. La situation des habitants de cette région demeure incertaine, et il est difficile d'obtenir une évaluation précise pour le moment. Cependant, une source basée à Kibirizi, à plus de 20 kilomètres de Bambo, a signalé que d'importants bruits d'explosions étaient perceptibles, laissant craindre des conséquences sur la population locale. Il est recommandé de suivre les mises à jour des médias locaux et des sources officielles pour obtenir des informations actualisées sur l'évolution de la situation dans cette zone.
Les récents affrontements dans le Nord-Kivu, plus précisément à Rutshuru, impliquent les forces Fardc/Wazalendo et le M23 dans plusieurs villages du groupement Bukombo. Les combats ont été signalés ce vendredi matin, avec des détonations d'armes lourdes entendues sur des collines telles que Bunkuba, Mushababwe, Ngoroba, ainsi que dans d'autres villages autour du centre de Bambo. Les explosions sont également rapportées à Mweso centre, Kitshanga, et à Katsiru. Félix Balume Hangi, journaliste de Radio Communautaire Mweso Fm, rapporte ces événements à 7h12. La situation semble tendue dans la région. Simultanément, des sources locales rapportent que les combats ont éclaté dès les premières heures du matin à Mushaki, Karuba et Lushoga. Le M23/ RDF-Wazalendo semble étendre son emprise, se dirigeant vers les zones minières du territoire de Masisi. La région demeure le théâtre de violences persistantes, laissant les habitants dans l'incertitude quant à l'issue de ces Affrontements.
Ce matin du 2 février, une bombe a frappé Mweso, à proximité du bureau central de la zone de santé et à quelques mètres de la base de Médecins Sans Frontières (MSF). Les informateurs locaux confirment que la bombe a été larguée par des individus non identifiés sur l'axe Bwito, lieu des affrontements entre le M23 et les forces loyalistes/Wazalendo dans le groupement Bukombo.
Explosion à Goma, Nord-Kivu: Bilan de trois blessés graves et de maisons détruites" Cet après-midi du vendredi 2 février 2024, une bombe larguée par les rebelles du M23 a frappé des habitations à Goma, plus précisément dans le quartier Mugunga. La société civile locale confirme l'information, déclarant trois personnes grièvement blessées et deux maisons détruites comme bilan provisoire. Selon Bujiriri Paul, président de la société civile du quartier Mugunga, la bombe a touché la zone d'Amour derrière l'école primaire Nengapeta à 14h. Actuellement, aucun décès n'est signalé, mais trois personnes gravement blessées ont été transportées à l'hôpital. Il est à noter qu'il y a seulement cinq jours, des bombes provenant des positions contrôlées par le M23 ont frappé des maisons à Sake, à au moins 20 km du site actuel, causant un décès et plusieurs blessés. Depuis le début de 2024, le groupe rebelle, soutenu par les armées ougandaise et rwandaise, cible les résistants wazalendo et les FARDC dans diverses régions du territoire de Masisi.
Des développements dramatiques ont secoué la ville de Goma, avec la première bombe larguée dans la région. Les responsables du M23 ont réagi en accusant l'armée congolaise et en se déclarant innocents. Le président du mouvement du 23 mars, @bbisimwa, a affirmé que Kinshasa avait délibérément largué des bombes sur Goma pour susciter de l'émotion et de la compassion nationale et internationale en faveur de ce qu'il a qualifié d'œuvre criminelle. Il a spécifié que les tirs sur le quartier Mugunga ne provenaient pas de l'Alliance des Rebelles du Congo (ARC), mais plutôt de la coalition des forces du régime de Kinshasa. En réponse, l'armée congolaise a chargé le M23_RDF, attribuant la responsabilité de la première bombe à ce groupe rebelle. Guillaume Ndjike, porte-parole de l'armée au Nord-Kivu, a déclaré que la bombe avait été tirée par le M23_RDF depuis la colline de Kagano. Les autorités militaires enquêtent sur l'incident et ont promis de fournir des détails supplémentaires dans un proche avenir. Cette escalade de violence souligne la complexité de la situation dans la région et souligne la nécessité d'une réponse immédiate pour protéger la population civile et restaurer la stabilité. Il est crucial de suivre les actualités locales et les communiqués officiels pour obtenir des informations actualisées sur ces événements en évolution rapide.
Il a été signalé que des affrontements violents ont éclaté tôt le matin du vendredi 2 février 2024 entre les rebelles du M23 et les jeunes des groupes armés locaux, connus sous le nom de Wazalendo, sur l'axe Bambo-Nyanzale dans la chefferie de Bwito, située dans le territoire de Rutshuru. Selon diverses sources, les rebelles du M23 ont lancé des assauts sur les positions des Wazalendo près de Mushababwe depuis 4 heures du matin, le long de l'axe menant à Nyanzale. La situation des habitants de cette région demeure incertaine, et il est difficile d'obtenir une évaluation précise pour le moment. Cependant, une source basée à Kibirizi, à plus de 20 kilomètres de Bambo, a signalé que d'importants bruits d'explosions étaient perceptibles, laissant craindre des conséquences sur la population locale. Il est recommandé de suivre les mises à jour des médias locaux et des sources officielles pour obtenir des informations actualisées sur l'évolution de la situation dans cette zone.
Les récents affrontements dans le Nord-Kivu, plus précisément à Rutshuru, impliquent les forces Fardc/Wazalendo et le M23 dans plusieurs villages du groupement Bukombo. Les combats ont été signalés ce vendredi matin, avec des détonations d'armes lourdes entendues sur des collines telles que Bunkuba, Mushababwe, Ngoroba, ainsi que dans d'autres villages autour du centre de Bambo. Les explosions sont également rapportées à Mweso centre, Kitshanga, et à Katsiru. Félix Balume Hangi, journaliste de Radio Communautaire Mweso Fm, rapporte ces événements à 7h12. La situation semble tendue dans la région. Simultanément, des sources locales rapportent que les combats ont éclaté dès les premières heures du matin à Mushaki, Karuba et Lushoga. Le M23/ RDF-Wazalendo semble étendre son emprise, se dirigeant vers les zones minières du territoire de Masisi. La région demeure le théâtre de violences persistantes, laissant les habitants dans l'incertitude quant à l'issue de ces Affrontements.
Ce matin du 2 février, une bombe a frappé Mweso, à proximité du bureau central de la zone de santé et à quelques mètres de la base de Médecins Sans Frontières (MSF). Les informateurs locaux confirment que la bombe a été larguée par des individus non identifiés sur l'axe Bwito, lieu des affrontements entre le M23 et les forces loyalistes/Wazalendo dans le groupement Bukombo.
Explosion à Goma, Nord-Kivu: Bilan de trois blessés graves et de maisons détruites" Cet après-midi du vendredi 2 février 2024, une bombe larguée par les rebelles du M23 a frappé des habitations à Goma, plus précisément dans le quartier Mugunga. La société civile locale confirme l'information, déclarant trois personnes grièvement blessées et deux maisons détruites comme bilan provisoire. Selon Bujiriri Paul, président de la société civile du quartier Mugunga, la bombe a touché la zone d'Amour derrière l'école primaire Nengapeta à 14h. Actuellement, aucun décès n'est signalé, mais trois personnes gravement blessées ont été transportées à l'hôpital. Il est à noter qu'il y a seulement cinq jours, des bombes provenant des positions contrôlées par le M23 ont frappé des maisons à Sake, à au moins 20 km du site actuel, causant un décès et plusieurs blessés. Depuis le début de 2024, le groupe rebelle, soutenu par les armées ougandaise et rwandaise, cible les résistants wazalendo et les FARDC dans diverses régions du territoire de Masisi.
Des développements dramatiques ont secoué la ville de Goma, avec la première bombe larguée dans la région. Les responsables du M23 ont réagi en accusant l'armée congolaise et en se déclarant innocents. Le président du mouvement du 23 mars, @bbisimwa, a affirmé que Kinshasa avait délibérément largué des bombes sur Goma pour susciter de l'émotion et de la compassion nationale et internationale en faveur de ce qu'il a qualifié d'œuvre criminelle. Il a spécifié que les tirs sur le quartier Mugunga ne provenaient pas de l'Alliance des Rebelles du Congo (ARC), mais plutôt de la coalition des forces du régime de Kinshasa. En réponse, l'armée congolaise a chargé le M23_RDF, attribuant la responsabilité de la première bombe à ce groupe rebelle. Guillaume Ndjike, porte-parole de l'armée au Nord-Kivu, a déclaré que la bombe avait été tirée par le M23_RDF depuis la colline de Kagano. Les autorités militaires enquêtent sur l'incident et ont promis de fournir des détails supplémentaires dans un proche avenir. Cette escalade de violence souligne la complexité de la situation dans la région et souligne la nécessité d'une réponse immédiate pour protéger la population civile et restaurer la stabilité. Il est crucial de suivre les actualités locales et les communiqués officiels pour obtenir des informations actualisées sur ces événements en évolution rapide.
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