La vie et la triste fin de Jean-Claude Pascal

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La vie et la triste fin de Jean-Claude Pascal

Jean-Claude Pascal, de son vrai nom Jean-Claude Roger Henri Villeminot, né à Paris le 24 octobre 1927, est un acteur, chanteur et écrivain français. Issu d'une famille d'industriels du textile, Jean-Claude Villeminot commence sa carrière professionnelle, juste après la Seconde Guerre mondiale, comme modéliste-dessinateur d'abord chez Hermès, puis chez les couturiers Christian Dior et Roger Piguet ;

il devient aussi modèle du fait de son physique avantageux. Il met ensuite ses talents de styliste au service du théâtre, en dessinant des costumes, notamment pour la pièce Dom Juan de Molière mise en scène par Louis Jouvet.

Très vite, se sentant appartenir au monde du théâtre, il décide de devenir comédien et, après avoir suivi les cours d'art dramatique de René Simon, il fait ses débuts sur les planches en 1949, aux côtés de Pierre Renoir d'abord, puis de 1950 à 1952, dans La Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils, il est le partenaire de la grande Edwige Feuillère. C'est alors qu'il prend le nom de Jean-Claude Pascal, sous la pression de sa famille.

Grand, élancé, le regard ténébreux, une diction classique héritée de sa formation de comédien de théâtre, Jean-Claude Pascal est le type même du séducteur romantique qu'affectionnait le cinéma français des années 1950.

Jean-Claude Pascal fait partie des acteurs les plus méprisés par la critique française. Il fut de ce cinéma populaire assassiné par la Nouvelle Vague, et il est aujourd'hui oublié du public et absent des commémorations médiatiques, malgré sa reconversion réussie dans la chanson.

Pourtant, il fut une idole adulée du grand public. En effet, les metteurs en scène populaires qui le dirigèrent sont pour la plupart ignorés par les historiens du cinéma ou dénigrés : Guinguette (1958) de Delannoy est jugé « soigné mais impersonnel » et Les Arrivistes (1960) de Daquin « conventionnel ». Il faut reconnaître – et Jean-Claude Pascal le faisait volontiers – que, malgré des collaborations intéressantes avec Alexandre Astruc ou Pierre Schoendoerffer, l'acteur se contenta souvent de « vendre sa gueule » comme il le disait lui-même.

Décoloré en blond pour Le Jugement de Dieu (1949), sa première apparition au cinéma dirigée par le vétéran Raymond Bernard qui l'a repéré par hasard, il incarne le prince Albert de Bavière.

Le jeune homme perce dès son quatrième film, Un grand patron (1951) d'Yves Ciampi, grand succès dans les salles, où il s'affronte au monumental Pierre Fresnay. La reconnaissance critique vient grâce au moyen métrage d'Alexandre Astruc Le Rideau cramoisi (1951), le seul rôle qui le sauve aux yeux des historiens pointilleux du cinéma et qui exprime avec bonheur la tendance cynique de sa personnalité.

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