La vie et la triste fin de Claude Brasseur

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La vie et la triste fin de Claude Brasseur

Claude Brasseur est le fils de Pierre Brasseur et d'Odette Joyeux, et le père d'Alexandre Brasseur. Il est issu d'une dynastie de comédiens remontant à 1820.

Ses parents s'occupent peu de lui, se séparent et le placent en pension, chez les oratoriens de Juilly où il côtoie Philippe Noiret, Jean-Jacques Debout et Jacques Mesrine. Il arrête sa scolarité en seconde. Par l'entregent de son père, il est engagé à Paris Match comme assistant du photographe Walter Carone.

Lors d'un entretien qu'il mène avec la vedette de comédie de boulevard Elvire Popesco, celle-ci lui conseille — au vu de son illustre patronyme — de se lancer dans le théâtre : ayant acheté le Théâtre de Paris où elle monte en 1955 la pièce Judas de Marcel Pagnol, elle engage le jeune comédien pour interpréter trois rôles, lui offrant ainsi son premier contrat.

Sa performance lui vaut d'entrer au Conservatoire, où il côtoie entre autres Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle et Jean Rochefort. L'année suivante il débute au cinéma dans Rencontre à Paris de Georges Lampin. Il tourne avec les plus grands réalisateurs de l'époque, notamment Georges Franju, Marcel Carné et Jean Renoir.

Mais c'est la télévision qui lui offre ses premiers grands rôles : Rouletabille dans Le Mystère de la chambre jaune de Jean Kerchbron et Sganarelle dans Dom Juan ou le Festin de pierre de Marcel Bluwal en 1965, et surtout François Vidocq dans Les Nouvelles Aventures de Vidocq de 1971 à 1973, où il remplace Bernard Noël, qui était dans les années 1960 le protagoniste de la première série.

Ce n'est qu'en 1974 avec Les Seins de glace de Georges Lautner qu'il se fait véritablement remarquer au cinéma, obtenant la consécration avec Un éléphant ça trompe énormément d'Yves Robert en 1976 qui lui vaut un César du meilleur acteur dans un second rôle en 1977. Le succès du film entraîne une suite en 1977, Nous irons tous au paradis.

Durant toute sa vie, il a tourné dans plus de cent dix films dont La Boum de Claude Pinoteau, où il interprète le père de Vic, Les Loups entre eux de José Giovanni, ou Camping et Le Héros de la famille, tous deux sortis en 2006. De 2003 à 2007, il joue le policier Franck Keller dans la série télévisée du même nom, diffusée sur TF1.

Sa dernière apparition au cinéma figure dans Tout le monde debout en 2018, de et avec Franck Dubosc. En 1980, il se voit décerner le César du meilleur acteur pour son rôle dans La Guerre des polices.

Au théâtre sa carrière commence en 1955 avec Judas de Marcel Pagnol dans la mise en scène de Pierre Valde au théâtre de Paris et se déroule pendant plus de soixante ans jusqu'en 2017 où il joue dans L'Indigent philosophe de Marivaux mis en scène par Christophe Lidon au Théâtre de l'Atelier. Au cours de ces années il travaille fréquemment avec Roger Planchon et Marcel Bluwal.

Il incarne notamment en 1999, au Théâtre Montparnasse, le commandant américain Steve Arnold, agent d'assurance et amateur de Dixieland dans le privé, chargé de conduire l'enquête en vue du procès en dénazification du chef d'orchestre de la Philharmonie de Berlin Wilhelm Furtwängler, interprété par Michel Bouquet, dans la pièce de Ronald Harwood traduite par Dominique Hollier, À torts et à raisons, mise en scène par Marcel Bluwal.

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