Cette symphonie, construite progressivement, n’avait pas d’effectif figé à son origine.
Le piano, la voix et l’orgue sont venus en cours de composition, portés par une nécessité intérieure.
L’écriture, dense mais respirante, explore des masses sonores, des silences habités, et des pulsations rituelles.
Les percussions tiennent un rôle fondamental, dialoguant avec le piano et la harpe, moteurs vibrants du tissu orchestral.
La voix n’intervient qu’à la fin — sans texte — mêlée à la harpe et au piano,
comme une présence humaine dans le souffle de l’orchestre.
Cette œuvre ne cherche pas à s’inscrire dans la tradition symphonique académique,
mais dans une exploration intérieure du son, de l’espace, et de la vibration.
Le piano, la voix et l’orgue sont venus en cours de composition, portés par une nécessité intérieure.
L’écriture, dense mais respirante, explore des masses sonores, des silences habités, et des pulsations rituelles.
Les percussions tiennent un rôle fondamental, dialoguant avec le piano et la harpe, moteurs vibrants du tissu orchestral.
La voix n’intervient qu’à la fin — sans texte — mêlée à la harpe et au piano,
comme une présence humaine dans le souffle de l’orchestre.
Cette œuvre ne cherche pas à s’inscrire dans la tradition symphonique académique,
mais dans une exploration intérieure du son, de l’espace, et de la vibration.
- Catégories
- Cours de Batterie & Percussions
- Mots-clés
- Philippe Bray, symphonie contemporaine, musique orchestrale
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