JACQUES-HENRI BERNARDIN DE SAINT-PIERRE.
Le roman « Paul et Virginie », paru en 1788, fut un triomphe. Plus de deux siècles plus tard, chansons, comédies musicales, opéras, adaptations télévisées, continuent à essaimer non seulement la France mais aussi l’Océan Indien (où l’histoire est située) et ses différentes nations, et même, ponctuellement, d’autres sensibilités, séduites tôt ou tard, par ce pathétique, cette force sentimentale et les descriptions de cellules familiales harmonieuses qui irriguent l’œuvre. Bernardin de Saint-Pierre avait, semble-t-il, la sincérité d’un homme empli d’amertume à l’encontre de la nature humaine, et l’originalité d’un écrivain et botaniste chevronné qui ne renia jamais aucune de ces deux passions.
[En image d’entrée vers la vidéo : Paul et Virginie, éternels, dans le jardin de Pamplemousse, sur l’Île Maurice.
Toute notre amitié à Natacha Mootoosamy et sa famille. Le court film leur est dédié.]
Le roman « Paul et Virginie », paru en 1788, fut un triomphe. Plus de deux siècles plus tard, chansons, comédies musicales, opéras, adaptations télévisées, continuent à essaimer non seulement la France mais aussi l’Océan Indien (où l’histoire est située) et ses différentes nations, et même, ponctuellement, d’autres sensibilités, séduites tôt ou tard, par ce pathétique, cette force sentimentale et les descriptions de cellules familiales harmonieuses qui irriguent l’œuvre. Bernardin de Saint-Pierre avait, semble-t-il, la sincérité d’un homme empli d’amertume à l’encontre de la nature humaine, et l’originalité d’un écrivain et botaniste chevronné qui ne renia jamais aucune de ces deux passions.
[En image d’entrée vers la vidéo : Paul et Virginie, éternels, dans le jardin de Pamplemousse, sur l’Île Maurice.
Toute notre amitié à Natacha Mootoosamy et sa famille. Le court film leur est dédié.]
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