La vie et la triste fin de Robert Dalban
Gaston Paul Aimé Robert Barré dit Robert Dalban, né le 19 juillet 1903 à Celles-sur-Belle. Avec plus de deux cents films à son actif entre 1934 et 1986, il est l'un des « seconds rôles » masculins les plus connus du cinéma français. Il donne ainsi la réplique aux plus grands acteurs du cinéma français : Jean Gabin, Alain Delon, Lino Ventura, Bernard Blier, Paul Meurisse, Jean Marais ou encore Louis de Funès ou Sophie Marceau.
Fils de Louis Auguste Barré, d'abord clerc de notaire puis boucher, et de Marie Léontine Moreau, couturière, Robert Dalban débute à l'âge de seize ans au théâtre Montparnasse aux côtés de Harry-Max et Maurice Dorléac.
Sous le pseudonyme de R.Q., il est aussi comique troupier au caf'conc' Les Trois Mousquetaires. Avant un départ en tournée aux États-Unis avec Sarah Bernhardt au début des années 1920, il joue dans de nombreux théâtres de quartier. On le retrouve dans des opérettes et des revues au cours des années 1930. Il joue plusieurs fois avec Gaby Morlay, qui le pousse vers le cinéma, où il débute en 1934.
En 1940, il épouse la comédienne Madeleine Robinson, avec laquelle il a un fils, Jean-François, né en 1941. Le couple divorce en 1946. Robert Dalban se remarie avec la comédienne et chanteuse Francine Claudel.
En 1950, il est choisi sur casting organisé par la M.G.M. pour prêter sa voix à Clark Gable dans la version française de la super-production de David O. Selznick Autant en emporte le vent. En 1955, il rencontre Robert Hossein et tourne dans Les salauds vont en enfer. C'est le début d'une grande amitié entre les deux hommes.
Robert Dalban a interprété, entre autres, un ancien camarade de la Résistance de Marie-Octobre dans Marie-Octobre et le père de Manette dans Mon oncle Benjamin d'Édouard Molinaro. C'est le tonitruant « Yes, sir ! » de son personnage du majordome Jean dans Les Tontons flingueurs de Georges Lautner qui marque durablement les esprits. Il tourne pas moins de onze films avec ce dernier. Il campe avec une égale conviction les rôles de truands et ceux de policiers. En 1982, il interprète le rôle principal du téléfilm Jules et Juju.
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Bonjour et surtout bienvenue sur la chaîne Nikstok1 !
Nous sommes heureux de vous révéler des informations sur la vie et la triste fin des stars du cinéma. Leur vie célèbre mais avec des fins très tristes.
Gaston Paul Aimé Robert Barré dit Robert Dalban, né le 19 juillet 1903 à Celles-sur-Belle. Avec plus de deux cents films à son actif entre 1934 et 1986, il est l'un des « seconds rôles » masculins les plus connus du cinéma français. Il donne ainsi la réplique aux plus grands acteurs du cinéma français : Jean Gabin, Alain Delon, Lino Ventura, Bernard Blier, Paul Meurisse, Jean Marais ou encore Louis de Funès ou Sophie Marceau.
Fils de Louis Auguste Barré, d'abord clerc de notaire puis boucher, et de Marie Léontine Moreau, couturière, Robert Dalban débute à l'âge de seize ans au théâtre Montparnasse aux côtés de Harry-Max et Maurice Dorléac.
Sous le pseudonyme de R.Q., il est aussi comique troupier au caf'conc' Les Trois Mousquetaires. Avant un départ en tournée aux États-Unis avec Sarah Bernhardt au début des années 1920, il joue dans de nombreux théâtres de quartier. On le retrouve dans des opérettes et des revues au cours des années 1930. Il joue plusieurs fois avec Gaby Morlay, qui le pousse vers le cinéma, où il débute en 1934.
En 1940, il épouse la comédienne Madeleine Robinson, avec laquelle il a un fils, Jean-François, né en 1941. Le couple divorce en 1946. Robert Dalban se remarie avec la comédienne et chanteuse Francine Claudel.
En 1950, il est choisi sur casting organisé par la M.G.M. pour prêter sa voix à Clark Gable dans la version française de la super-production de David O. Selznick Autant en emporte le vent. En 1955, il rencontre Robert Hossein et tourne dans Les salauds vont en enfer. C'est le début d'une grande amitié entre les deux hommes.
Robert Dalban a interprété, entre autres, un ancien camarade de la Résistance de Marie-Octobre dans Marie-Octobre et le père de Manette dans Mon oncle Benjamin d'Édouard Molinaro. C'est le tonitruant « Yes, sir ! » de son personnage du majordome Jean dans Les Tontons flingueurs de Georges Lautner qui marque durablement les esprits. Il tourne pas moins de onze films avec ce dernier. Il campe avec une égale conviction les rôles de truands et ceux de policiers. En 1982, il interprète le rôle principal du téléfilm Jules et Juju.
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