Ce serait un sacrilège que de visiter Paris sans s’arrêter à La Mère Catherine. Ce bistrot niché dans le village de Montmartre, à deux pas de la magnifique basilique du Sacré-Cœur, résonne d’histoire et d’esprit bohème. La preuve en est, sa création en 1793 en fait l’un des plus vieux bistrots de Paris !
Avec sa décoration Art nouveau, ses pinceaux et croquis exposés aux murs, l’établissement dirigé par Henri Boulard et Jean-François Roques nous fait remonter le temps à l’époque de Toulouse-Lautrec et des cabarets parisiens. C’est d’ailleurs à La Mère Catherine que vous découvrirez l’origine du mot « bistro » ...
À l’extérieur, la clientèle internationale profite de la douce effervescence de la place du Tertre, au milieu des peintres et des artistes. Dans une palette de nappes blanches et de serviettes à carreaux rouges, La Mère Catherine propose une gastronomie issue de la pure tradition française. Cochon de lait, escargots… ici les grands classiques se côtoient, pour le bonheur des papilles.
Certains soirs, le piano laisse échapper une douce mélodie enivrante. La chanson française emplit alors la place du Tertre et nous nous laissons porter dans l’histoire le temps d’un verre ou d’un bon dîner. Tout cela mérite définitivement de grimper la célèbre butte !
Avec sa décoration Art nouveau, ses pinceaux et croquis exposés aux murs, l’établissement dirigé par Henri Boulard et Jean-François Roques nous fait remonter le temps à l’époque de Toulouse-Lautrec et des cabarets parisiens. C’est d’ailleurs à La Mère Catherine que vous découvrirez l’origine du mot « bistro » ...
À l’extérieur, la clientèle internationale profite de la douce effervescence de la place du Tertre, au milieu des peintres et des artistes. Dans une palette de nappes blanches et de serviettes à carreaux rouges, La Mère Catherine propose une gastronomie issue de la pure tradition française. Cochon de lait, escargots… ici les grands classiques se côtoient, pour le bonheur des papilles.
Certains soirs, le piano laisse échapper une douce mélodie enivrante. La chanson française emplit alors la place du Tertre et nous nous laissons porter dans l’histoire le temps d’un verre ou d’un bon dîner. Tout cela mérite définitivement de grimper la célèbre butte !
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