Guerre M23/RDF: Les FARDC et Wazalendo infligent des pertes à l'ennemi à Sake, situation ce 1r/6/24
Depuis Jeudi, Kanyabayonga se vide de sa population qui craint une attaque des terroristes du M23 qui ont conquis des villages au Sud de cette commune rurale située à près de 170 kilomètres au nord de Butembo, sur l'axe Butembo-Goma. Les habitants se déplacent et se dirigent les uns à Kayna, d'autres à Kirumba et Kaseghe, des agglomérations situées en direction de Butembo. Ces habitants se mettent à l'abri à la suite des incidents qui ont eu lieu toute la journée d'hier vendredi.
Certaines sources ont affirmé à ACTUALITE.CD qu'après une nuit de jeudi émaillée de psychose suite au mouvement des militaires venant des lignes de front, les habitants ont vu des militaires tirer des balles entre 11h et 15h. Actes qui ont fait paniquer nombreux habitants qui ont cru à l'entrée des terroristes M23 dans la cité et ont aussitôt commencé à se déplacer vers d'autres entité jusque vendredi soir, des sources concordantes ont affirmé à nos confrères que l'armée congolaise contrôle Kanyabayonga.
La situation semble calme en dépit des tirs sporadiques qui se sont fait entendre. Moins de la moitié de la population a passée nuit à Kanyabayonga avec la peur.
La situation demeure donc volatile; Plusieurs activistes des droits humains ont abandonné cette entité stratégique qui donne accès au Grand Nord-Kivu, à partir du territoire de Lubero. Comme d'autres habitants, eux aussi craignent la progression des terroristes M23 qui restent positionnés autour de Butalongola, un village situé en groupement de Kanyabayonga, chefferie de Bwito (Rutshuru), à une dizaine de kilomètres de la commune rurale Kanyabayonga. Cette situation aggrave la crise humanitaire dans la zone. Avant cette vague de déplacement, Kanyabayonga accueillait des milliers de déplacés de guerre venus de Rutshuru, Masisi et Walikale fuyant les affrontements entre l'armée congolaise et les terroristes du M23. Ces déplacés qui vivaient les uns dans des familles d'accueil et d'autres dans des écoles et offices de l'État sont de nouveau contraints à se déplace.
Récupération de deux véhicules blindés de la SADC endommagés sur une ligne de front dans le village de Luhonga, près de Sake, dans le territoire de Masisi le jour suivant après les affrontements. ces véhicules blindés n’ont pas été capturés; ils étaient hors d’usage et ont été évacués par les équipes vers un emplacement sécurisé. Les techniciens ont rapidement pris les choses en main. Ces véhicules sont à présent réparés, de retour dans nos bases et opérationnels pour de futures missions, a indiqué une source militaire proche de la force de SAMIDRC.
Justin Inzun Kakiak est de nouveau nommé à la tête de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR). L’annonce a été officialisée ce vendredi via une ordonnance présidentielle. Kakiak avait déjà occupé ce poste de mars 2019 à décembre 2021 avant de devenir Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire auprès de la République du Congo, poste qu'il a occupé jusqu’à ce jour. Kakiak succède à Daniel Lusadisu Kiambi, qui lui-même avait remplacé Jean Hervé Mbelu à la tête de l’ANR. Lusadisu, un médecin spécialisé en cardiologie et en médecine d'urgence, formé à l'École royale militaire en Belgique, avait servi au sein des Forces Armées Zaïroises et de la Division Spéciale Présidentielle (DSP). Il est relevé de ses fonctions dans un contexte marqué par des événements récents qualifiés de tentative manquée de coup d’État par les autorités. Justin Inzun Kakiak sera secondé par Justin Mulumba Nsabua, avocat au barreau de Kongo Central.Connaissant bien l’institution, Kakiak avait remplacé en 2019 Kalev Mutond, qui dirigeait l’ANR depuis 2011. Il n’est pas étranger au monde du renseignement, ayant également occupé le poste d’administrateur adjoint de l’ANR.
Dès son accession à la présidence, Félix Tshisekedi avait promis de "d’humaniser" l’ANR et de "fermer" ses nombreux cachots secrets, où étaient détenus de nombreux opposants et militants Anti-Kabila.
Depuis Jeudi, Kanyabayonga se vide de sa population qui craint une attaque des terroristes du M23 qui ont conquis des villages au Sud de cette commune rurale située à près de 170 kilomètres au nord de Butembo, sur l'axe Butembo-Goma. Les habitants se déplacent et se dirigent les uns à Kayna, d'autres à Kirumba et Kaseghe, des agglomérations situées en direction de Butembo. Ces habitants se mettent à l'abri à la suite des incidents qui ont eu lieu toute la journée d'hier vendredi.
Certaines sources ont affirmé à ACTUALITE.CD qu'après une nuit de jeudi émaillée de psychose suite au mouvement des militaires venant des lignes de front, les habitants ont vu des militaires tirer des balles entre 11h et 15h. Actes qui ont fait paniquer nombreux habitants qui ont cru à l'entrée des terroristes M23 dans la cité et ont aussitôt commencé à se déplacer vers d'autres entité jusque vendredi soir, des sources concordantes ont affirmé à nos confrères que l'armée congolaise contrôle Kanyabayonga.
La situation semble calme en dépit des tirs sporadiques qui se sont fait entendre. Moins de la moitié de la population a passée nuit à Kanyabayonga avec la peur.
La situation demeure donc volatile; Plusieurs activistes des droits humains ont abandonné cette entité stratégique qui donne accès au Grand Nord-Kivu, à partir du territoire de Lubero. Comme d'autres habitants, eux aussi craignent la progression des terroristes M23 qui restent positionnés autour de Butalongola, un village situé en groupement de Kanyabayonga, chefferie de Bwito (Rutshuru), à une dizaine de kilomètres de la commune rurale Kanyabayonga. Cette situation aggrave la crise humanitaire dans la zone. Avant cette vague de déplacement, Kanyabayonga accueillait des milliers de déplacés de guerre venus de Rutshuru, Masisi et Walikale fuyant les affrontements entre l'armée congolaise et les terroristes du M23. Ces déplacés qui vivaient les uns dans des familles d'accueil et d'autres dans des écoles et offices de l'État sont de nouveau contraints à se déplace.
Récupération de deux véhicules blindés de la SADC endommagés sur une ligne de front dans le village de Luhonga, près de Sake, dans le territoire de Masisi le jour suivant après les affrontements. ces véhicules blindés n’ont pas été capturés; ils étaient hors d’usage et ont été évacués par les équipes vers un emplacement sécurisé. Les techniciens ont rapidement pris les choses en main. Ces véhicules sont à présent réparés, de retour dans nos bases et opérationnels pour de futures missions, a indiqué une source militaire proche de la force de SAMIDRC.
Justin Inzun Kakiak est de nouveau nommé à la tête de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR). L’annonce a été officialisée ce vendredi via une ordonnance présidentielle. Kakiak avait déjà occupé ce poste de mars 2019 à décembre 2021 avant de devenir Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire auprès de la République du Congo, poste qu'il a occupé jusqu’à ce jour. Kakiak succède à Daniel Lusadisu Kiambi, qui lui-même avait remplacé Jean Hervé Mbelu à la tête de l’ANR. Lusadisu, un médecin spécialisé en cardiologie et en médecine d'urgence, formé à l'École royale militaire en Belgique, avait servi au sein des Forces Armées Zaïroises et de la Division Spéciale Présidentielle (DSP). Il est relevé de ses fonctions dans un contexte marqué par des événements récents qualifiés de tentative manquée de coup d’État par les autorités. Justin Inzun Kakiak sera secondé par Justin Mulumba Nsabua, avocat au barreau de Kongo Central.Connaissant bien l’institution, Kakiak avait remplacé en 2019 Kalev Mutond, qui dirigeait l’ANR depuis 2011. Il n’est pas étranger au monde du renseignement, ayant également occupé le poste d’administrateur adjoint de l’ANR.
Dès son accession à la présidence, Félix Tshisekedi avait promis de "d’humaniser" l’ANR et de "fermer" ses nombreux cachots secrets, où étaient détenus de nombreux opposants et militants Anti-Kabila.
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