Mercredi 17 novembre 2021 - 19h
Projection en avant-première du film "Porte d’Aubervilliers".
Valérie Jouve présente son nouveau film consacré à la Porte d’Aubervilliers à la jonction de Paris et de la ville d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).
Photographe et cinéaste, Valérie Jouve enseigne à l’École nationale supérieure d’architecture Paris-La Villette. Depuis le milieu des années 1990, son œuvre interroge l’espace urbain (mais aussi plus récemment les espaces ruraux) et la place de l’humain dans l’espace social en pensant le travail des images. Son œuvre est aujourd’hui prise pour référence par nombre d’artistes et de créateurs de différents champs. Elle pose ici son regard sur les transformations de la métropole parisienne.
Elle a réalisé Grand Littoral (2003) tourné à Marseille, puis Time is working (2005) dans la ville de Rotterdam, Restored Pictures (2012) sur la première femme photographe en Palestine, Un Blues (2015) tourné au Guatemala autour du personnage de Tania.
Porte d’Aubervilliers interroge encore et toujours le fait urbain et le fait humain, dans leur intime relation. De quel imaginaire avons-nous besoin pour nous approprier les bouleversements du monde ? Quelles fables les images documentaires peuvent-elles bâtir pour prolonger les utopies de l’habiter ensemble ?
L’artiste s’entretiendra avec Michel Poivert, historien de l’art et de la photographie à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Président du Collège International de Photographie.
En partenariat avec le magazine Fisheye.
Projection en avant-première du film "Porte d’Aubervilliers".
Valérie Jouve présente son nouveau film consacré à la Porte d’Aubervilliers à la jonction de Paris et de la ville d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).
Photographe et cinéaste, Valérie Jouve enseigne à l’École nationale supérieure d’architecture Paris-La Villette. Depuis le milieu des années 1990, son œuvre interroge l’espace urbain (mais aussi plus récemment les espaces ruraux) et la place de l’humain dans l’espace social en pensant le travail des images. Son œuvre est aujourd’hui prise pour référence par nombre d’artistes et de créateurs de différents champs. Elle pose ici son regard sur les transformations de la métropole parisienne.
Elle a réalisé Grand Littoral (2003) tourné à Marseille, puis Time is working (2005) dans la ville de Rotterdam, Restored Pictures (2012) sur la première femme photographe en Palestine, Un Blues (2015) tourné au Guatemala autour du personnage de Tania.
Porte d’Aubervilliers interroge encore et toujours le fait urbain et le fait humain, dans leur intime relation. De quel imaginaire avons-nous besoin pour nous approprier les bouleversements du monde ? Quelles fables les images documentaires peuvent-elles bâtir pour prolonger les utopies de l’habiter ensemble ?
L’artiste s’entretiendra avec Michel Poivert, historien de l’art et de la photographie à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Président du Collège International de Photographie.
En partenariat avec le magazine Fisheye.
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