En 2015, après l’attentat à Charlie Hebdo, Nadia Vadori Gautier a mis au point le projet de « Une minute de danse par jour », pour agir une présence sensible dans le monde. Elle voulait agir en s’assignant une action quotidienne petite mais réelle et répétée, qui œuvre pour une poésie en acte, en se mettant réellement en jeu, seule ou en relation à d’autres. Depuis le 14 janvier 2015, elle danse chaque jour, sans autres armes que celles du sensible, pour ne pas céder à l’anesthésie, la peur ou la pétrification et créer des connexions vivantes aux autres, aux environnements. Comment agir de façon locale, infinitésimale, à sa mesure, afin de contribuer à la création de liens et au décloisonnement ?
Pendant le confinement lié à l’épidémie de covid-19, pour continuer d’activer un partage et des liens qui sont au cœur de ce qui l’anime, elle a ouvert le projet à tous et elle a aussi dansé dans de nombreux lieux culture fermés.
Pendant le confinement lié à l’épidémie de covid-19, pour continuer d’activer un partage et des liens qui sont au cœur de ce qui l’anime, elle a ouvert le projet à tous et elle a aussi dansé dans de nombreux lieux culture fermés.
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