►►► Abonnez-vous gratuitement: http://bit.ly/YavisAudioMagazine
Les hommages à George Floyd, cet Américain noir asphyxié sous le poids d’un policier à Minneapolis, se multiplient à travers le monde.
A Bruxelles aussi et parfois sous la forme de graffiti. C’est le cas à Grimbergen en périphérie Bruxelloise où un collectif de graffeurs a peint sur un mur une fresque monumentale.
Presque à l’abri des regards, le graffiti est caché sur le mur d’une déchetterie de Strombeek. Il représente le visage de Georges Floyd entre les nuages, accompagné de la scène qui a provoqué sa mort. Les auteurs ont voulu rendre hommage à leur façon : "l’idée nous est venue sans calculer", explique Djamel Oulkadi, l’un des graffeurs à l’origine de l’hommage, "à la base on venait juste faire une fresque avec les copains. La veille, avec tout ce qui se passe en ce moment, on s’est dit que l’on devrait faire son portrait". Derrière cet acte, une réelle volonté d’exprimer leur engagement pour dénoncer le racisme. "Pour moi le graffiti en lui-même est un acte d’engagement. On peut passer des messages ou pas. On peut juste écrire son nom des centaines de fois. Quoi qu’il arrive le graff est surtout une façon d’exprimer quelque chose", conclu Djamel Oulkadi.
Les propriétaires du bâtiment ont quant à eux donné leur autorisation pour laisser libre cours à l’imagination des artistes.
Les hommages à George Floyd, cet Américain noir asphyxié sous le poids d’un policier à Minneapolis, se multiplient à travers le monde.
A Bruxelles aussi et parfois sous la forme de graffiti. C’est le cas à Grimbergen en périphérie Bruxelloise où un collectif de graffeurs a peint sur un mur une fresque monumentale.
Presque à l’abri des regards, le graffiti est caché sur le mur d’une déchetterie de Strombeek. Il représente le visage de Georges Floyd entre les nuages, accompagné de la scène qui a provoqué sa mort. Les auteurs ont voulu rendre hommage à leur façon : "l’idée nous est venue sans calculer", explique Djamel Oulkadi, l’un des graffeurs à l’origine de l’hommage, "à la base on venait juste faire une fresque avec les copains. La veille, avec tout ce qui se passe en ce moment, on s’est dit que l’on devrait faire son portrait". Derrière cet acte, une réelle volonté d’exprimer leur engagement pour dénoncer le racisme. "Pour moi le graffiti en lui-même est un acte d’engagement. On peut passer des messages ou pas. On peut juste écrire son nom des centaines de fois. Quoi qu’il arrive le graff est surtout une façon d’exprimer quelque chose", conclu Djamel Oulkadi.
Les propriétaires du bâtiment ont quant à eux donné leur autorisation pour laisser libre cours à l’imagination des artistes.
Cliquez sur S'abonner pour recevoir les dernières nouvelles.
Les hommages à George Floyd, cet Américain noir asphyxié sous le poids d’un policier à Minneapolis, se multiplient à travers le monde.
A Bruxelles aussi et parfois sous la forme de graffiti. C’est le cas à Grimbergen en périphérie Bruxelloise où un collectif de graffeurs a peint sur un mur une fresque monumentale.
Presque à l’abri des regards, le graffiti est caché sur le mur d’une déchetterie de Strombeek. Il représente le visage de Georges Floyd entre les nuages, accompagné de la scène qui a provoqué sa mort. Les auteurs ont voulu rendre hommage à leur façon : "l’idée nous est venue sans calculer", explique Djamel Oulkadi, l’un des graffeurs à l’origine de l’hommage, "à la base on venait juste faire une fresque avec les copains. La veille, avec tout ce qui se passe en ce moment, on s’est dit que l’on devrait faire son portrait". Derrière cet acte, une réelle volonté d’exprimer leur engagement pour dénoncer le racisme. "Pour moi le graffiti en lui-même est un acte d’engagement. On peut passer des messages ou pas. On peut juste écrire son nom des centaines de fois. Quoi qu’il arrive le graff est surtout une façon d’exprimer quelque chose", conclu Djamel Oulkadi.
Les propriétaires du bâtiment ont quant à eux donné leur autorisation pour laisser libre cours à l’imagination des artistes.
Les hommages à George Floyd, cet Américain noir asphyxié sous le poids d’un policier à Minneapolis, se multiplient à travers le monde.
A Bruxelles aussi et parfois sous la forme de graffiti. C’est le cas à Grimbergen en périphérie Bruxelloise où un collectif de graffeurs a peint sur un mur une fresque monumentale.
Presque à l’abri des regards, le graffiti est caché sur le mur d’une déchetterie de Strombeek. Il représente le visage de Georges Floyd entre les nuages, accompagné de la scène qui a provoqué sa mort. Les auteurs ont voulu rendre hommage à leur façon : "l’idée nous est venue sans calculer", explique Djamel Oulkadi, l’un des graffeurs à l’origine de l’hommage, "à la base on venait juste faire une fresque avec les copains. La veille, avec tout ce qui se passe en ce moment, on s’est dit que l’on devrait faire son portrait". Derrière cet acte, une réelle volonté d’exprimer leur engagement pour dénoncer le racisme. "Pour moi le graffiti en lui-même est un acte d’engagement. On peut passer des messages ou pas. On peut juste écrire son nom des centaines de fois. Quoi qu’il arrive le graff est surtout une façon d’exprimer quelque chose", conclu Djamel Oulkadi.
Les propriétaires du bâtiment ont quant à eux donné leur autorisation pour laisser libre cours à l’imagination des artistes.
Cliquez sur S'abonner pour recevoir les dernières nouvelles.
- Catégories
- Cours & Divers
Commentaires