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La comédie musicale est un genre théâtral, mêlant comédie, chant , danse et les claquettes. Apparue au tout début du xxe siècle, elle se situe dans la lignée du mariage du théâtre et de la musique classique qui avait donné naissance aux siècles précédents au ballet, à l'opéra, à l'opéra-bouffe et à l'opérette. Elle s'est particulièrement développée aux États-Unis, se dissociant à partir des années 1910 du genre classique par l'intégration de musiques « nouvelles » comme le jazz. De fait, le terme évoque de nos jours principalement les États-Unis et plus spécialement Broadway.
Comme pour le terme « opéra-comique », l'emploi du mot « comédie » est à prendre au sens large : en effet, les thèmes de la comédie musicale peuvent être légers ou tragiques. Ainsi West Side Story, inspiré du drame de Shakespeare Roméo et Juliette, ne peut être considéré comme une pièce « comique ». C'est pourquoi les appellations de théâtre musical ou spectacle musical sont depuis une vingtaine d'années préférés, ainsi que le mot musical1, principalement pour les productions anglophones.
Le terme désigne également par extension dans le langage courant un film musical. Les mondes de la comédie musicale et du film musical sont en effet intimement liés : de nombreuses comédies musicales ont été adaptées au cinéma dès l'arrivée du cinéma parlant. Il arrive, plus rarement, qu'un film musical fasse l'objet d'une adaptation scénique, comme State Fair (1945) adapté pour la scène en 1992, Mary Poppins (1964), Chitty Chitty Bang Bang (1968), Victor Victoria (1982), ou encore les longs métrages d'animation des studios Disney, La Belle et la Bête, Le Roi lion, La Petite Sirène, Tarzan et Aladdin. Enfin certains films non musicaux peuvent également faire l'objet d'adaptations comme Billy Elliot (2000).
Origines
En 1285, Jacques Bretel dans son Tournoi de Chauvency décrit un jeu qui regroupe toutes les caractéristiques de la comédie musicale : c'est une petite pièce théâtrale à thème amoureux, où les acteurs improvisent et s'expriment en chantant, dansant et mimant leurs sentiments. Un ménestrel, une noble dame et un chevalier sont les héros de ce « jeu du chapelet » ou « Couronne de fleurs ».
L’appellation « comédie musicale » (commedia musicale) est apparue a priori pour la première fois, au xviiie siècle en Italie pour qualifier les rares ouvrages musicaux légers mêlant chant et dialogue (et éventuellement danse), à l’image de l’opéra-comique français.
On retrouve cette appellation en France, de l’« Entre-deux-guerres » jusqu’à la fin des années 1960, pour qualifier de petites comédies de boulevard musicales, appelées également « opérettes légères », comme Couchette n° 3 de Joseph Szulc, Alex Madis et Albert Willemetz créée en 1929 au théâtre des Capucines2. Elle n’a alors rien à voir avec la comédie musicale américaine dans sa forme primitive. Le qualificatif de « comédie musicale » refera son apparition dans l’hexagone au milieu des années 1990 pour qualifier (de façon plus ou moins justifiée) différentes formes d’ouvrages musicaux.
La comédie musicale anglophone
Historique
La comédie musicale américaine, dans sa forme primitive, est née au début du xxe siècle, même si The Black Crook (1866) est parfois considérée comme la première comédie musicale. Elle est alors très différente de l'opérette ou comédie musicale européenne. Elle n’est en effet pas née d’une forme théâtrale mais du mélange de deux genres musicaux d’origine britannique, alors très en vogue outre-atlantique : le « burlesque », sorte de petite revue née vers 1830 sur les scènes populaires des « beuglants » anglais, plus ou moins construite autour d’une trame très légère, d’un thème ou d’un simple fil conducteur dont elle conserve le système de comédie liant des numéros musicaux, et la revue de music-hall, née une vingtaine d’années plus tard dans les grands « caf' conc' » de Londres et qui se développa aux États-Unis jusqu’aux fastueuses productions de Florenz Ziegfeld dans les années 1910-1920.
La continuité dramatique n’y est pas alors vraiment respectée. Ses livrets sont plutôt un ensemble de liens autour d’une vague histoire, voire d’un concept, ne servant qu’à donner une cohérence (parfois bien fragile) à l’ensemble.
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Musique proposée par La Musique Libre
Dimatis - Mists : https://youtu.be/1t8LRE7wDik
Dimatis : https://soundcloud.com/dimatis
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La comédie musicale est un genre théâtral, mêlant comédie, chant , danse et les claquettes. Apparue au tout début du xxe siècle, elle se situe dans la lignée du mariage du théâtre et de la musique classique qui avait donné naissance aux siècles précédents au ballet, à l'opéra, à l'opéra-bouffe et à l'opérette. Elle s'est particulièrement développée aux États-Unis, se dissociant à partir des années 1910 du genre classique par l'intégration de musiques « nouvelles » comme le jazz. De fait, le terme évoque de nos jours principalement les États-Unis et plus spécialement Broadway.
Comme pour le terme « opéra-comique », l'emploi du mot « comédie » est à prendre au sens large : en effet, les thèmes de la comédie musicale peuvent être légers ou tragiques. Ainsi West Side Story, inspiré du drame de Shakespeare Roméo et Juliette, ne peut être considéré comme une pièce « comique ». C'est pourquoi les appellations de théâtre musical ou spectacle musical sont depuis une vingtaine d'années préférés, ainsi que le mot musical1, principalement pour les productions anglophones.
Le terme désigne également par extension dans le langage courant un film musical. Les mondes de la comédie musicale et du film musical sont en effet intimement liés : de nombreuses comédies musicales ont été adaptées au cinéma dès l'arrivée du cinéma parlant. Il arrive, plus rarement, qu'un film musical fasse l'objet d'une adaptation scénique, comme State Fair (1945) adapté pour la scène en 1992, Mary Poppins (1964), Chitty Chitty Bang Bang (1968), Victor Victoria (1982), ou encore les longs métrages d'animation des studios Disney, La Belle et la Bête, Le Roi lion, La Petite Sirène, Tarzan et Aladdin. Enfin certains films non musicaux peuvent également faire l'objet d'adaptations comme Billy Elliot (2000).
Origines
En 1285, Jacques Bretel dans son Tournoi de Chauvency décrit un jeu qui regroupe toutes les caractéristiques de la comédie musicale : c'est une petite pièce théâtrale à thème amoureux, où les acteurs improvisent et s'expriment en chantant, dansant et mimant leurs sentiments. Un ménestrel, une noble dame et un chevalier sont les héros de ce « jeu du chapelet » ou « Couronne de fleurs ».
L’appellation « comédie musicale » (commedia musicale) est apparue a priori pour la première fois, au xviiie siècle en Italie pour qualifier les rares ouvrages musicaux légers mêlant chant et dialogue (et éventuellement danse), à l’image de l’opéra-comique français.
On retrouve cette appellation en France, de l’« Entre-deux-guerres » jusqu’à la fin des années 1960, pour qualifier de petites comédies de boulevard musicales, appelées également « opérettes légères », comme Couchette n° 3 de Joseph Szulc, Alex Madis et Albert Willemetz créée en 1929 au théâtre des Capucines2. Elle n’a alors rien à voir avec la comédie musicale américaine dans sa forme primitive. Le qualificatif de « comédie musicale » refera son apparition dans l’hexagone au milieu des années 1990 pour qualifier (de façon plus ou moins justifiée) différentes formes d’ouvrages musicaux.
La comédie musicale anglophone
Historique
La comédie musicale américaine, dans sa forme primitive, est née au début du xxe siècle, même si The Black Crook (1866) est parfois considérée comme la première comédie musicale. Elle est alors très différente de l'opérette ou comédie musicale européenne. Elle n’est en effet pas née d’une forme théâtrale mais du mélange de deux genres musicaux d’origine britannique, alors très en vogue outre-atlantique : le « burlesque », sorte de petite revue née vers 1830 sur les scènes populaires des « beuglants » anglais, plus ou moins construite autour d’une trame très légère, d’un thème ou d’un simple fil conducteur dont elle conserve le système de comédie liant des numéros musicaux, et la revue de music-hall, née une vingtaine d’années plus tard dans les grands « caf' conc' » de Londres et qui se développa aux États-Unis jusqu’aux fastueuses productions de Florenz Ziegfeld dans les années 1910-1920.
La continuité dramatique n’y est pas alors vraiment respectée. Ses livrets sont plutôt un ensemble de liens autour d’une vague histoire, voire d’un concept, ne servant qu’à donner une cohérence (parfois bien fragile) à l’ensemble.
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Musique proposée par La Musique Libre
Dimatis - Mists : https://youtu.be/1t8LRE7wDik
Dimatis : https://soundcloud.com/dimatis
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