Si j'avais 25 ans,
Je quitterais la France
Et je prendrais la mer.
Cet océan turquoise, comme ses yeux,
Dans lesquels on voudrait s'y noyer, heureux.
Dans son regard aigues-marines, je serais seul marin
Le capitaine gardien des deux saphirs divins.
J'irai loin, très loin, avec passion
Pour rejoindre l'horizon.
Là où se confondent le ciel et la mer,
Sans repère, ni demain, ni hier.
Là, où les éléments ne forment qu'un univers,
En une glorieuse et ardente prière.
Si j'avais 25 ans
Je referais un monde nouveau,
Pour qu'il soit plus beau.
Pour que chaque jour soit printemps.
J'arrêterais le temps,
Longtemps, tout le temps,
Pour qu'il ne soit qu'amour,
Pas un instant, mais toujours.
Je prendrai plus d'entrain
Aux bras d'une blonde,
Dans une ronde sans fin
Où la joie surabonde.
Et je mettrais un frein
À ma vie vagabonde
Si j'avais 25 ans,
Je prendrais le temps d'aimer, d'admirer
Toute la beauté que j'ai ignorée.
Je regarderais au-delà du bout de mon nez,
Toutes celles que j'ai abandonnées.
Mais j'ai eu 25 ans, il y a longtemps.
J'ai vu ces yeux là. Le ciel du monde.
Ses yeux turquoise, parsemés d'émeraude,
De la pureté des diamants.
Je ne m'y suis noyé qu'un instant,
Sans m'y perdre complétement.
Des yeux, comme la mer, qui me fixaient tendrement
Ses yeux turquoise aux éclats de diamants
Ses yeux comme l'océan,
Qui m'attendent encore, peut-être, probablement.
Alors je tirerais un trait
Sur mes sombres années,
Pour y plonger entièrement
Et y rester longtemps,
Éperdument, tout le temps, passionnément..
Ludovic Freppaz
Je quitterais la France
Et je prendrais la mer.
Cet océan turquoise, comme ses yeux,
Dans lesquels on voudrait s'y noyer, heureux.
Dans son regard aigues-marines, je serais seul marin
Le capitaine gardien des deux saphirs divins.
J'irai loin, très loin, avec passion
Pour rejoindre l'horizon.
Là où se confondent le ciel et la mer,
Sans repère, ni demain, ni hier.
Là, où les éléments ne forment qu'un univers,
En une glorieuse et ardente prière.
Si j'avais 25 ans
Je referais un monde nouveau,
Pour qu'il soit plus beau.
Pour que chaque jour soit printemps.
J'arrêterais le temps,
Longtemps, tout le temps,
Pour qu'il ne soit qu'amour,
Pas un instant, mais toujours.
Je prendrai plus d'entrain
Aux bras d'une blonde,
Dans une ronde sans fin
Où la joie surabonde.
Et je mettrais un frein
À ma vie vagabonde
Si j'avais 25 ans,
Je prendrais le temps d'aimer, d'admirer
Toute la beauté que j'ai ignorée.
Je regarderais au-delà du bout de mon nez,
Toutes celles que j'ai abandonnées.
Mais j'ai eu 25 ans, il y a longtemps.
J'ai vu ces yeux là. Le ciel du monde.
Ses yeux turquoise, parsemés d'émeraude,
De la pureté des diamants.
Je ne m'y suis noyé qu'un instant,
Sans m'y perdre complétement.
Des yeux, comme la mer, qui me fixaient tendrement
Ses yeux turquoise aux éclats de diamants
Ses yeux comme l'océan,
Qui m'attendent encore, peut-être, probablement.
Alors je tirerais un trait
Sur mes sombres années,
Pour y plonger entièrement
Et y rester longtemps,
Éperdument, tout le temps, passionnément..
Ludovic Freppaz
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