Peintre suisse né en 1969 à Mitrovica (Kosovo).
Ce n’est qu’en 1993 qu’il débarque sur les rives du lac Léman à Lausanne. Dès son plus jeune âge, doté d’une réelle vocation, Asllani est captivé par l’univers du dessin. A l’école, son cahier d’écriture est rempli de croquis sur le monde qui l’entoure. Très précoce, il est vite remarqué pour son talent de dessinateur : ses croquis et ses satires sont régulièrement publiés dans les principaux quotidiens du pays.
La porte des Beaux-Arts à peine franchie, Asllani abandonne la caricature pour se dévouer totalement à la peinture. Inspirée par le surréalisme, son œuvre se déploie entre visions, univers et délires oniriques. Ses toiles redonnent vie à un monde oublié, celui des contes, des mythes et des légendes populaires.
Vacillant entre une réflexion artistique profonde et une profusion de sentiments exaltants, chaque tableau est comme un point d’orgue, une suspension passagère du temps qui file. Chaque tableau est un profond soupir de joie, de colère ou de tristesse.
La précision et la régularité de son trait à l’encre de Chine dévoilent avec délicatesse le clair-obscur de ses peintures. Sa plume trace aussi bien la puissance d’un paysage que la douceur des courbes d’une femme. Lorsqu’ Asllani touche à l’infiniment petit, il fait entrer en résonance les vestiges du passé.
De grands tableaux à l’acrylique et aux couleurs éclatantes, enrichis d’une multitude d’arabesques à l’encre noire, caractérisent cette évolution. Les paysages parfois tourmentés, les personnages et objets dépeints de manière réaliste ou allégorique, suscitent chez le spectateur des émotions intenses par la variété des sujets présentés.
Guidé par ses sentiments, les diverses périodes de sa vie ont été couchées sur toile. Les circonstances de la vie à l’époque de sa jeunesse ont influencé l’apparition d’ombres sombres et froides, s’éclaircissant au fil des ans, pour livrer des tableaux plus légers et lumineux, avec toujours en filigrane, un style totalement reconnaissable. Son œuvre a été exposée dans de nombreuses galeries en Suisse, mais aussi en Italie, France, Les États-Unis, Luxembourg et Allemagne.
Les critiques dépeignent Asllani comme un peintre "au style unique".
Publié mercredi 11Juin 2020 par #VjosaGërvalla
Ce n’est qu’en 1993 qu’il débarque sur les rives du lac Léman à Lausanne. Dès son plus jeune âge, doté d’une réelle vocation, Asllani est captivé par l’univers du dessin. A l’école, son cahier d’écriture est rempli de croquis sur le monde qui l’entoure. Très précoce, il est vite remarqué pour son talent de dessinateur : ses croquis et ses satires sont régulièrement publiés dans les principaux quotidiens du pays.
La porte des Beaux-Arts à peine franchie, Asllani abandonne la caricature pour se dévouer totalement à la peinture. Inspirée par le surréalisme, son œuvre se déploie entre visions, univers et délires oniriques. Ses toiles redonnent vie à un monde oublié, celui des contes, des mythes et des légendes populaires.
Vacillant entre une réflexion artistique profonde et une profusion de sentiments exaltants, chaque tableau est comme un point d’orgue, une suspension passagère du temps qui file. Chaque tableau est un profond soupir de joie, de colère ou de tristesse.
La précision et la régularité de son trait à l’encre de Chine dévoilent avec délicatesse le clair-obscur de ses peintures. Sa plume trace aussi bien la puissance d’un paysage que la douceur des courbes d’une femme. Lorsqu’ Asllani touche à l’infiniment petit, il fait entrer en résonance les vestiges du passé.
De grands tableaux à l’acrylique et aux couleurs éclatantes, enrichis d’une multitude d’arabesques à l’encre noire, caractérisent cette évolution. Les paysages parfois tourmentés, les personnages et objets dépeints de manière réaliste ou allégorique, suscitent chez le spectateur des émotions intenses par la variété des sujets présentés.
Guidé par ses sentiments, les diverses périodes de sa vie ont été couchées sur toile. Les circonstances de la vie à l’époque de sa jeunesse ont influencé l’apparition d’ombres sombres et froides, s’éclaircissant au fil des ans, pour livrer des tableaux plus légers et lumineux, avec toujours en filigrane, un style totalement reconnaissable. Son œuvre a été exposée dans de nombreuses galeries en Suisse, mais aussi en Italie, France, Les États-Unis, Luxembourg et Allemagne.
Les critiques dépeignent Asllani comme un peintre "au style unique".
Publié mercredi 11Juin 2020 par #VjosaGërvalla
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