Le magazine LGBT+ Têtu a choisi Bilal Hassani comme personnalité de l’année. Cela lui vaut une belle une dans le dernier numéro. Mais la campagne d’affichage ne se passe pas comme prévu.
Deux ans après avoir représenté la France à l’Eurovision, Bilal Hassani a été nu magnifique candidat de « Danse avec les stars », arrivant sur la deuxième marche du podium la semaine dernière. « En offrant avec talent et simplicité, dans une émission populaire, une incarnation de notre communauté plurielle, il s’est imposé comme personnalité Têtu de l’année 2021 », souligne le rédacteur en chef de Têtu Thomas Vampouille, pour expliquer le choix de la rédaction du magazine LGBT+ de l’avoir choisi comme personnalité de l’année.
Dans un esthétisme proche des photos de Pierre et Gilles, le jeune chanteur Bilal Hassani apparaît auréolé, les yeux vers le ciel et drapé comme une madone. Et c’est bien cette posture qui pose problème à Mediatransports, la régie publicitaire qui gère les affichages dans les gares parisiennes de la SNCF et les stations de la RATP.
La direction de Têtu explique à Arrêt sur images que la régie a refusé d’afficher la une du magazine en raison de son caractère « confessionnel ». Une photo qui reprend des symboles religieux ? Pour la direction du magazine, ce qu’on retrouve sur la une ce sont surtout des codes de la pop culture, utilisés chez de nombreux artistes à commencer par Madonna. « On reprend la figure de la madone, mais de façon très respectueuse et artistique », explique Thomas Vampouille qui réfute l’accusation de blasphème.
Toujours pour Arrêt sur Images, la direction de Mediatransports assume : « Dans nos contrats avec les opérateurs de transports et en l’espèce la SNCF et la RATP, il nous est impossible d’afficher des visuels où sont présentes des références religieuses. »
Deux ans après avoir représenté la France à l’Eurovision, Bilal Hassani a été nu magnifique candidat de « Danse avec les stars », arrivant sur la deuxième marche du podium la semaine dernière. « En offrant avec talent et simplicité, dans une émission populaire, une incarnation de notre communauté plurielle, il s’est imposé comme personnalité Têtu de l’année 2021 », souligne le rédacteur en chef de Têtu Thomas Vampouille, pour expliquer le choix de la rédaction du magazine LGBT+ de l’avoir choisi comme personnalité de l’année.
Dans un esthétisme proche des photos de Pierre et Gilles, le jeune chanteur Bilal Hassani apparaît auréolé, les yeux vers le ciel et drapé comme une madone. Et c’est bien cette posture qui pose problème à Mediatransports, la régie publicitaire qui gère les affichages dans les gares parisiennes de la SNCF et les stations de la RATP.
La direction de Têtu explique à Arrêt sur images que la régie a refusé d’afficher la une du magazine en raison de son caractère « confessionnel ». Une photo qui reprend des symboles religieux ? Pour la direction du magazine, ce qu’on retrouve sur la une ce sont surtout des codes de la pop culture, utilisés chez de nombreux artistes à commencer par Madonna. « On reprend la figure de la madone, mais de façon très respectueuse et artistique », explique Thomas Vampouille qui réfute l’accusation de blasphème.
Toujours pour Arrêt sur Images, la direction de Mediatransports assume : « Dans nos contrats avec les opérateurs de transports et en l’espèce la SNCF et la RATP, il nous est impossible d’afficher des visuels où sont présentes des références religieuses. »
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