Une femme qui rend ce qu’elle avait volé.
Un prêtre qui la regarde, entre compassion et jugement.
Né en 1854 à Mouscron en Belgique et installé dès l’adolescence à Roubaix, Rémy Cogghe grandit au cœur d’un monde ouvrier qu’il n’a jamais cessé d’observer. Formé à l’Académie de Roubaix, puis à l’École des Beaux-Arts de Paris auprès d’Alexandre Cabanel, il obtient en 1880 la médaille d’or du Prix de Rome belge avant de voyager en Italie, en Espagne, en Algérie et en Tunisie.
Son style ? Un réalisme minutieux, ancré dans la vie quotidienne. En 1901, avec La Restitution, il transforme un simple acte – rendre des bijoux volés – en un drame silencieux, où se confrontent la honte, la foi et l’espoir du pardon.
#art #histoiredelart #peinture #réalisme #RémyCogghe #rédemption #pardon #culpabilité #musée #roubaix
Un prêtre qui la regarde, entre compassion et jugement.
Né en 1854 à Mouscron en Belgique et installé dès l’adolescence à Roubaix, Rémy Cogghe grandit au cœur d’un monde ouvrier qu’il n’a jamais cessé d’observer. Formé à l’Académie de Roubaix, puis à l’École des Beaux-Arts de Paris auprès d’Alexandre Cabanel, il obtient en 1880 la médaille d’or du Prix de Rome belge avant de voyager en Italie, en Espagne, en Algérie et en Tunisie.
Son style ? Un réalisme minutieux, ancré dans la vie quotidienne. En 1901, avec La Restitution, il transforme un simple acte – rendre des bijoux volés – en un drame silencieux, où se confrontent la honte, la foi et l’espoir du pardon.
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