Dans les mois qui viennent, d’ici Noël ou courant 2026, la justice devrait mener une campagne de recherches sous-marines hors norme: approcher la carlingue de la Caravelle Ajaccio-Nice qui s’est crashée en mer, le 11 septembre 1968, avec 95 occupants à son bord.
"Une avancée historique", pour les avocats des familles de victimes. L’ultime étape, potentiellement décisive, pour percer un mystère vieux de cinquante-sept ans.
Cette perspective donne le vertige. Tant pour l’ancienneté de l’affaire et sa dimension humaine que pour la profondeur d’une telle opération.
Ces recherches sous-marines devront être menées par près de 2.300 mètres de fond. C’est dans ces eaux-là, au large du cap d’Antibes, que reposent les débris de l’avion affrété par Air France. Et avec eux, peut-être les réponses aux questions qui hantent les familles des 95 victimes.
"Une avancée historique", pour les avocats des familles de victimes. L’ultime étape, potentiellement décisive, pour percer un mystère vieux de cinquante-sept ans.
Cette perspective donne le vertige. Tant pour l’ancienneté de l’affaire et sa dimension humaine que pour la profondeur d’une telle opération.
Ces recherches sous-marines devront être menées par près de 2.300 mètres de fond. C’est dans ces eaux-là, au large du cap d’Antibes, que reposent les débris de l’avion affrété par Air France. Et avec eux, peut-être les réponses aux questions qui hantent les familles des 95 victimes.
- Catégories
- Alpes Maritimes
- Mots-clés
- 1968, ajaccio, antibes
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