Obroni - "Malecón"

Follow us : OBRONI : Afro French-Folk

Spotify, Apple Music, iTunes, Instagram/Facebook, TikTok & other ByteDance stores, YouTube Music, Amazon, Pandora, Deezer, Tidal, iHeartRadio, Claro Música, Saavn, Boomplay, Anghami, KKBox, NetEase, Tencent, Qobuz, Joox, Kuack Media, Yandex Music (beta), Adaptr, Flo, MediaNet

Mastering : Dan Walker. 
Mixing : Juls Weishaupt
Saxophones : Marc Buvry  Trompettes : Romain Cariou 
Keyboards : Gs Blessing's
Drums, Percussions, Bass keyboards, Guitar, Singing : Juls Weishaupt

Un Grand merci
Camille le Sondier, Philippe Lebel
Moon, Arno Coulon
Thomas Clair, Julien Appert


Malecón.

Music & Lyrics by Julien Weishaupt


INTRO

Eclaboussé par une vague, tout mouillé tout salé puis rincé, par une pluie venant du noir.
Crevant pour un peu d’air iodé, afin d’éteindre le rouge des cendres, de mes organes en braises.

VERSE 1

Sur le Malecón, je cherchai une voie.
Loin d’être sans issue, je l’ai repris plus de mille fois.
Sur le Malecón, je guidai mes doigts.
Contre le tissu, et mon désarroi.
Appelant de vive voix cette force qui est en moi.
Confiant de l’endroit ou se cache cette soie.
Démuni de bon sens j’entravai ma loie.
Puni de mon non sens envahi de peur.
Maintes fois, trop de fois, maintes fois, mais peur de quoi?

CHORUS 1

En toi je me revois des milliers de fois. En toi je me revois errant sous ce poids.
Un coup de mou dans le flou peur de devenir fou, sur cette roue qui tourne visionnant le tout.

VERSE 2

Sur le Malecón, je me voyais plonger.
Pour me rassurer, je réappris à nager.
En bas du Malecón, bercé près de la roche.
Ne plus lutter contre courant, pour ne plus que ça clôche.
Doucement je m’épanoui dans un art de vivre.
Consciemment je renie ce qui me rendais pire.
Issue de secours sur un tapis rouge.
Je sue car je cours afin que ça bouge.
Cette fois, je le conçois, cette fois, plus peur de moi.

CHORUS 2

En toi je me revois des milliers de fois. En toi je me revois errant sous ce poids.
Un coup de mou dans le flou peur de devenir fou. Sur cette roue qui tourne visionnant le tout.
Sur le tard du hasard je souris et repars. Faut bien que je me marre car rien n’est trop tard.

END
Eclaboussé par une vague.
Eclaboussé par une vague, tout mouillé tout salé puis rincé, par une pluie venant du noir.
Crevant pour un peu d’air iodé, afin d’éteindre le rouge des cendres de mes organes en braises.
Eclaboussé par une vague, puis rincé, par une pluie.
Un peu d’air iodé afin d’éteindre le rouge des cendres de mes organes.
Eclaboussé puis rincé, les organes, en braises.