Azul Fallawen
La chorale féminine créée par Madame, Samia Amekhoukhe, organisatrice de l'événement Nadia Ouali (les saveurs de Nadia)
La maison de quartier de la Cité floréal à Saint-Denis abrite un atelier de Chant ancestral du patrimoine folklorique kabyle " Ourar N'lxalat ". Appelé également " Nouva ikhalath ", ce répertoire de la chanson et musique traditionnelle kabyle est pratiqué depuis la nuit des temps par des chorales de groupes de femmes kabyles lors de cérémonies festives ou lors d'événements comme la cueillette des olives en Kabylie.
Cet atelier de chorale est animé par une doyenne de la chanson kabyle Na Souad, et Katia Benamour, et Hanifa, et bien d’autres femmes qui dirigent le groupe de femmes participantes, lesquelles sont accompagnées de percussions à l'aide de tambourins appelés " Vendir " pour donner le rythme à leurs voix. Ce groupe, créé par Samia Amekhoukhe, propose par cette activité, un temps de retrouvailles pour toutes ces femmes qui y participent chaque Mardi après-midi. Il permet ainsi de rompre avec l'oubli et l'isolement et de lutter contre la solitude des personnes âgées. Il leur permet enfin de renouer avec la douceur et la ferveur de l'ambiance du Village, de "Thadderth "
Chaque mardi, nous organisons la chorale et rendons hommage à des anciennes gloires de ce style de chants comme Na Cherifa, la diva de la chanson kabyle.
La troupe 'lakhalath' est née 1923 avec 'Lla Yamina', 'Lla Zina' et 'Lla Ouiza' un trio magistral qui excellait, à l'époque, dans les 'achwiks.
La troupe Lkhalath s’est formée au fil des années, d’abord avec les trois femmes-pionnières que je viens de citer, puis elle a pris de l’ampleur dans les années 30, 40 et 50 puisqu’il y avait d’autres chanteuses qui sont arrivées au fur et à mesure comme El Djida Tamokrant,El Djida tamchchtuht , Allah yerhamehoum les regrettées Hanifa et ‘Na Cherifa’, puis Djamila, Khedoudja, Anissa et Nouara”, tout en soulignant “que c’est une chorale qui a majestueusement représenté notre culture et toutes ces grandes dames ont réussi des merveilles en donnant à notre patrimoine culturel une plus grande dimension”, ce sont des femmes dont personne ne parle alors qu’elles sont les doyennes de la chanson, qui ont eu le grand mérite d’ouvrir les portes de la radio kabyle ! Personnellement, j’ai grandi, et j'ai baigné avec cette belle culture ancestrale kabyle parole, et ces chants ancestraux, les cris des montagnes de Djurdjura.
Depuis toute petite, j’écoute cette belle musique grâce à ma mère Allah yerhamha qui écoutait radio d’Alger chaîne 2. J'espère que cette nouvelle génération va prendre le relais”, à travers cet hommage fort émouvant, il fallait reconnaître le travail colossal de ces femmes qui ont éduqué plusieurs générations par la chanson et montré que la radio a joué un rôle important dans l’éducation et la transmission de notre patrimoine” tout en enchaînant que c’est aussi un grand hommage à la femme algérienne qui a pu sauvegarder notre patrimoine à une époque lointaine où il était difficile de s’exprimer.
Merci pour toutes ces belles paroles très profondes très beau à écoute et merci pour la bonne ambiance, et merci à la troupe musicale et merci à Samia Amekhoukhe, pour cette initiative de créer cette troupe musicale et de nous permettre de se retrouver dans une ambiance familiale et chaleureuse, une ambiance de Kabylie.
La chorale féminine créée par Madame, Samia Amekhoukhe, organisatrice de l'événement Nadia Ouali (les saveurs de Nadia)
La maison de quartier de la Cité floréal à Saint-Denis abrite un atelier de Chant ancestral du patrimoine folklorique kabyle " Ourar N'lxalat ". Appelé également " Nouva ikhalath ", ce répertoire de la chanson et musique traditionnelle kabyle est pratiqué depuis la nuit des temps par des chorales de groupes de femmes kabyles lors de cérémonies festives ou lors d'événements comme la cueillette des olives en Kabylie.
Cet atelier de chorale est animé par une doyenne de la chanson kabyle Na Souad, et Katia Benamour, et Hanifa, et bien d’autres femmes qui dirigent le groupe de femmes participantes, lesquelles sont accompagnées de percussions à l'aide de tambourins appelés " Vendir " pour donner le rythme à leurs voix. Ce groupe, créé par Samia Amekhoukhe, propose par cette activité, un temps de retrouvailles pour toutes ces femmes qui y participent chaque Mardi après-midi. Il permet ainsi de rompre avec l'oubli et l'isolement et de lutter contre la solitude des personnes âgées. Il leur permet enfin de renouer avec la douceur et la ferveur de l'ambiance du Village, de "Thadderth "
Chaque mardi, nous organisons la chorale et rendons hommage à des anciennes gloires de ce style de chants comme Na Cherifa, la diva de la chanson kabyle.
La troupe 'lakhalath' est née 1923 avec 'Lla Yamina', 'Lla Zina' et 'Lla Ouiza' un trio magistral qui excellait, à l'époque, dans les 'achwiks.
La troupe Lkhalath s’est formée au fil des années, d’abord avec les trois femmes-pionnières que je viens de citer, puis elle a pris de l’ampleur dans les années 30, 40 et 50 puisqu’il y avait d’autres chanteuses qui sont arrivées au fur et à mesure comme El Djida Tamokrant,El Djida tamchchtuht , Allah yerhamehoum les regrettées Hanifa et ‘Na Cherifa’, puis Djamila, Khedoudja, Anissa et Nouara”, tout en soulignant “que c’est une chorale qui a majestueusement représenté notre culture et toutes ces grandes dames ont réussi des merveilles en donnant à notre patrimoine culturel une plus grande dimension”, ce sont des femmes dont personne ne parle alors qu’elles sont les doyennes de la chanson, qui ont eu le grand mérite d’ouvrir les portes de la radio kabyle ! Personnellement, j’ai grandi, et j'ai baigné avec cette belle culture ancestrale kabyle parole, et ces chants ancestraux, les cris des montagnes de Djurdjura.
Depuis toute petite, j’écoute cette belle musique grâce à ma mère Allah yerhamha qui écoutait radio d’Alger chaîne 2. J'espère que cette nouvelle génération va prendre le relais”, à travers cet hommage fort émouvant, il fallait reconnaître le travail colossal de ces femmes qui ont éduqué plusieurs générations par la chanson et montré que la radio a joué un rôle important dans l’éducation et la transmission de notre patrimoine” tout en enchaînant que c’est aussi un grand hommage à la femme algérienne qui a pu sauvegarder notre patrimoine à une époque lointaine où il était difficile de s’exprimer.
Merci pour toutes ces belles paroles très profondes très beau à écoute et merci pour la bonne ambiance, et merci à la troupe musicale et merci à Samia Amekhoukhe, pour cette initiative de créer cette troupe musicale et de nous permettre de se retrouver dans une ambiance familiale et chaleureuse, une ambiance de Kabylie.
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