Table ronde organisé par le Collectif des festivals et Astropolis le 9 février 2023.
Mobilité des artistes et du public : de quels enjeux environnementaux et sociaux parlons-nous ? Comment repenser nos pratiques et à quoi doit-on renoncer ?
Le secteur des musiques actuelles entame un travail visible sur sa décarbonation, que ce soit les artistes, les lieux, les festivals, les producteurs… Plusieurs acteurs ont déjà réalisé des bilans carbone, ou sont dans des démarches de diagnostics environnementaux. Des premiers constats émergent :
• La nécessité de porter un regard systémique sur les enjeux environnementaux : nous croisons des impératifs de décarbonation, en même temps que de protection des ressources naturelles et de la biodiversité,
• La mobilité (des publics, des artistes et des équipes) est le premier poste à émission de CO2, et globalement dans des proportions très importantes par rapport à l'impact des achats, de la logistique ou encore de la communication,
• Réinterroger la mobilité des publics et des artistes n'est pas qu'une équation carbone ! Cela induit un travail sur l'accès à la culture, le respect des droits culturels, la lutte contre les inégalités, l'accueil des artistes… Mais également sur le modèle économique de nos pratiques et du secteur des musiques actuelles plus globalement.
Quelles idées et expérimentations sont testées aujourd'hui ? Dans quelles mesures arriverons-nous à renoncer à nos modèles actuels et à en inventer de nouveaux ? Comment construire un nouvel écosystème ?
Avec :
• Maryline Lair, directrice du Collectif des festivals, modération de la table ronde
• Gigsta, artiste
• Frédéric Jean, directeur de l’IUEM, Université de Bretagne Occidentale
• Gwenn Potard, directeur adjoint du service Culture, Brest
• Rudy Guilhem-Ducléon, chargé de mission DD, Le Collectif des festivals
@TheASTROPOLISTV
Mobilité des artistes et du public : de quels enjeux environnementaux et sociaux parlons-nous ? Comment repenser nos pratiques et à quoi doit-on renoncer ?
Le secteur des musiques actuelles entame un travail visible sur sa décarbonation, que ce soit les artistes, les lieux, les festivals, les producteurs… Plusieurs acteurs ont déjà réalisé des bilans carbone, ou sont dans des démarches de diagnostics environnementaux. Des premiers constats émergent :
• La nécessité de porter un regard systémique sur les enjeux environnementaux : nous croisons des impératifs de décarbonation, en même temps que de protection des ressources naturelles et de la biodiversité,
• La mobilité (des publics, des artistes et des équipes) est le premier poste à émission de CO2, et globalement dans des proportions très importantes par rapport à l'impact des achats, de la logistique ou encore de la communication,
• Réinterroger la mobilité des publics et des artistes n'est pas qu'une équation carbone ! Cela induit un travail sur l'accès à la culture, le respect des droits culturels, la lutte contre les inégalités, l'accueil des artistes… Mais également sur le modèle économique de nos pratiques et du secteur des musiques actuelles plus globalement.
Quelles idées et expérimentations sont testées aujourd'hui ? Dans quelles mesures arriverons-nous à renoncer à nos modèles actuels et à en inventer de nouveaux ? Comment construire un nouvel écosystème ?
Avec :
• Maryline Lair, directrice du Collectif des festivals, modération de la table ronde
• Gigsta, artiste
• Frédéric Jean, directeur de l’IUEM, Université de Bretagne Occidentale
• Gwenn Potard, directeur adjoint du service Culture, Brest
• Rudy Guilhem-Ducléon, chargé de mission DD, Le Collectif des festivals
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