Lorsque la nuit tombe sur l’île de la Réunion, le fé noir nappe tout de croyances et de mythes. Mais l’obscurité ouvre aussi la porte d’un monde alternatif, un monde empli d'artistes aux expressions protéiformes.
Ils sont peintres, auteurs, musiciens, comédiens, street artistes, plasticiens ou cinéastes et puisent dans la nuit leur inspiration, lorsque la puissance créatrice est source d’insomnies.
Pour certains le royaume des ombres est synonyme de repos, au mieux, de craintes au pire. D'autres en revanche y trouvent l'effervescence propre au travail artistique.
Dans les arrières cours de maisons Saint-Pierroises, dans des studios de répétition Dionysiens, sur des murs en bord de routes ou dans la lumière tamisée d’ateliers d’artistes, l’underground s’éveille et se met en marche quand le monde du dessus s’endort à poings fermés.
De pratiques artistiques individuelles, en messes collectives païennes, le réalisateur part dans cette série documentaire à la rencontre d’artistes pour aborder les questions de création, d'identité, d’inspiration, de parcours artistiques avec ceux qui travaillent en misouk, et s'inscrivent dans une démarche de réécriture culturelle permanente loin des clichés d'une tropicalité de cartes postales.
Ils sont peintres, auteurs, musiciens, comédiens, street artistes, plasticiens ou cinéastes et puisent dans la nuit leur inspiration, lorsque la puissance créatrice est source d’insomnies.
Pour certains le royaume des ombres est synonyme de repos, au mieux, de craintes au pire. D'autres en revanche y trouvent l'effervescence propre au travail artistique.
Dans les arrières cours de maisons Saint-Pierroises, dans des studios de répétition Dionysiens, sur des murs en bord de routes ou dans la lumière tamisée d’ateliers d’artistes, l’underground s’éveille et se met en marche quand le monde du dessus s’endort à poings fermés.
De pratiques artistiques individuelles, en messes collectives païennes, le réalisateur part dans cette série documentaire à la rencontre d’artistes pour aborder les questions de création, d'identité, d’inspiration, de parcours artistiques avec ceux qui travaillent en misouk, et s'inscrivent dans une démarche de réécriture culturelle permanente loin des clichés d'une tropicalité de cartes postales.
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