"Hippocrate a le blues"
Écrit par Philippe Sérié
Composé par Clément Carrasco
Mixé et masterisé par Nicola Posé
Musiciens :
Piano/Clavier : Frédéric Fortuné
Basse : Loïc Deschamps
Batterie/Percussions : Denis Fardeau
Chant : Clément Carrasco
Couverture d'album par Clémence Carrasco
@fysi_o
Paroles :
Pour rester un enfant au visage démasqué,
Ni pourquoi ni comment ne sauraient s'effacer.
Le cri de nos aïeux remonte le cours du temps
Malgré ces cris odieux brisant le poids des ans.
D'Amérique ou d'Asie, un vent d'humanité
Fait trembler de dépit, la Terre désabusée,
Les départs sans retour laisseront nos écumes
Perdues dans des discours légers comme une plume.
Entendre le glas sonner au-delà des souffrances,
Savoir tout accepter des heures de nos silences,
Revenir sans bagage d'une société de biens,
Partir vers un rivage qui a tissé des liens.
Des soldats sans armure au péril de leur vie
Redonnent un peu d'air pur, gagnant quelques défis.
Épuisés par les maux, ils offrent du réconfort
Pour des coeurs en morceaux, cernés par tant d'efforts.
Présumant de leurs forces, ils retrouvent l'essentiel
Bien plus qu'un sacerdoce, ils peuvent toucher le ciel ;
Les violons du présent illuminent la santé
Face au monde impuissant devant l'adversité.
Hippocrate a le blues, son serment devient lourd,
Toute l'énergie des blouses accompagnent nos jours ;
De Saint-Exupéry à l'ordre des médecins,
Un Petit Prince m'a dit : « dessine-moi un vaccin » !
Écrit par Philippe Sérié
Composé par Clément Carrasco
Mixé et masterisé par Nicola Posé
Musiciens :
Piano/Clavier : Frédéric Fortuné
Basse : Loïc Deschamps
Batterie/Percussions : Denis Fardeau
Chant : Clément Carrasco
Couverture d'album par Clémence Carrasco
@fysi_o
Paroles :
Pour rester un enfant au visage démasqué,
Ni pourquoi ni comment ne sauraient s'effacer.
Le cri de nos aïeux remonte le cours du temps
Malgré ces cris odieux brisant le poids des ans.
D'Amérique ou d'Asie, un vent d'humanité
Fait trembler de dépit, la Terre désabusée,
Les départs sans retour laisseront nos écumes
Perdues dans des discours légers comme une plume.
Entendre le glas sonner au-delà des souffrances,
Savoir tout accepter des heures de nos silences,
Revenir sans bagage d'une société de biens,
Partir vers un rivage qui a tissé des liens.
Des soldats sans armure au péril de leur vie
Redonnent un peu d'air pur, gagnant quelques défis.
Épuisés par les maux, ils offrent du réconfort
Pour des coeurs en morceaux, cernés par tant d'efforts.
Présumant de leurs forces, ils retrouvent l'essentiel
Bien plus qu'un sacerdoce, ils peuvent toucher le ciel ;
Les violons du présent illuminent la santé
Face au monde impuissant devant l'adversité.
Hippocrate a le blues, son serment devient lourd,
Toute l'énergie des blouses accompagnent nos jours ;
De Saint-Exupéry à l'ordre des médecins,
Un Petit Prince m'a dit : « dessine-moi un vaccin » !
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