Dans le cadre de son exposition personnelle qui débutera le 18 juin au MO.CO., ne manquez pas la conférence exceptionnelle de Berlinde De Bruyckere pour ce dernier jeudi MO.CO. Panacée de la saison.
Née à Gand, en Belgique, en 1964, où elle vit et travaille aujourd’hui, Berlinde De Bruyckere a été profondément influencée par la peinture de la Renaissance flamande. Puisant dans l’héritage des grands maîtres européens, l’iconographie religieuse, comme la mythologie antique ou les cultures traditionnelles, son travail repose sur une dialectique éprouvée entre les images de l’actualité et le souffle des paraboles universelles et intemporelles. En expérimentant des matériaux malléables, tels que la cire, le tissu ou la peau animale, Berlinde De Bruyckere a bâti une œuvre singulière, à la fois identifiable et mouvante, parfois dérangeante, qui traduit dans la chair des sculptures le paradoxe énoncé par Lao-Tseu de la « sublime faiblesse ». Travail de peintre autant que de sculptrice, ses formes hybrides, humaines, animales et végétales, possèdent une enveloppe - peau diaphane ou écorce - sous laquelle palpitent de fines veines, une sève qui ne cesse de couler et témoigne de l’espérance contenue dans le miracle de chaque vie.
Tous les jeudis de 19h à 20h, MO.CO. vous propose des rencontres et des conférences autour de l'art contemporain. En partenariat avec Midi Libre.
Née à Gand, en Belgique, en 1964, où elle vit et travaille aujourd’hui, Berlinde De Bruyckere a été profondément influencée par la peinture de la Renaissance flamande. Puisant dans l’héritage des grands maîtres européens, l’iconographie religieuse, comme la mythologie antique ou les cultures traditionnelles, son travail repose sur une dialectique éprouvée entre les images de l’actualité et le souffle des paraboles universelles et intemporelles. En expérimentant des matériaux malléables, tels que la cire, le tissu ou la peau animale, Berlinde De Bruyckere a bâti une œuvre singulière, à la fois identifiable et mouvante, parfois dérangeante, qui traduit dans la chair des sculptures le paradoxe énoncé par Lao-Tseu de la « sublime faiblesse ». Travail de peintre autant que de sculptrice, ses formes hybrides, humaines, animales et végétales, possèdent une enveloppe - peau diaphane ou écorce - sous laquelle palpitent de fines veines, une sève qui ne cesse de couler et témoigne de l’espérance contenue dans le miracle de chaque vie.
Tous les jeudis de 19h à 20h, MO.CO. vous propose des rencontres et des conférences autour de l'art contemporain. En partenariat avec Midi Libre.
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