Dans l’ombre du Troisième Reich existaient des lieux terrifiants et secrets : les fermes d’élevage nazies. Ces installations, connues sous le nom de Lebensborn, incarnaient la vision la plus déformée de la pureté raciale. Des femmes jugées « racialement valables » y étaient sélectionnées pour concevoir des enfants aryens avec des officiers SS, dans un processus dicté non par l’amour, mais par l’idéologie.
Ces centres visaient à façonner une nouvelle génération et à reprogrammer l’enfance. De nombreux enfants enlevés dans les territoires occupés y étaient transformés : leur nom, leur langue, leur identité étaient modifiés pour les « germaniser ». Ceux qui échouaient aux tests raciaux étaient rejetés ou éliminés.
Le programme Lebensborn, dirigé par Heinrich Himmler, n’était pas marginal mais officiel. Ces faits représentent un chapitre obscur et trop peu connu de la Shoah, où maternité et enfance furent dévoyées par un fanatisme racial effroyable.
Ces centres visaient à façonner une nouvelle génération et à reprogrammer l’enfance. De nombreux enfants enlevés dans les territoires occupés y étaient transformés : leur nom, leur langue, leur identité étaient modifiés pour les « germaniser ». Ceux qui échouaient aux tests raciaux étaient rejetés ou éliminés.
Le programme Lebensborn, dirigé par Heinrich Himmler, n’était pas marginal mais officiel. Ces faits représentent un chapitre obscur et trop peu connu de la Shoah, où maternité et enfance furent dévoyées par un fanatisme racial effroyable.
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