Nos addictions ne sont là que pour compenser un mal être à travers des micros-angoisses de notre inconscient. Se mal être inconscient ne vient pas de notre présent, mais de douleurs, frustration ou blessures de notre enfance.
Ses blessures et frustrations sont très souvent enflammées par la vie que nous menons et acceptons et qui pourtant ne nous convient pas ou plus vraiment.
Notre cerveau émotionnel (cerveau limbique) n’arrive pas à lâcher, il analyse tout et tout le temps de peur que ses frustrations et blessures ne resurgissent. Tout cela sans même que nous nous en rendions compte puisque tout cela date de notre enfance et très souvent de notre petite enfance. Cela fait partie totalement de nous, c'est pour cela que nous n’arrivons pas le conscientiser.
Pour reposer cette partie émotionnelle de notre cerveau qui analyse tout est tout le temps celui-ci à trouver la solution pour ralentir où je dirais plutôt l'anesthésie. La solution qu'il a trouvée est de se faire du bien à travers des addictions ou des récompenses qui vont lui faire du bien à travers des poussées de dopamine ou sérotonine que l’on peut très bien voir en imagerie médicale. On voit très bien le cerveau s'apaiser après la prise de notre produit préféré. Alcool, tabac, drogue, achat compulsif, pornographie, jeux, nourriture ….
Tous ces produits nous font du bien pendant un plus ou moins long moment, mais comme l'anesthésie ne dure que peu de temps le cerveau en redemande coûte que coûte, c’est alors là que le système additionnel se met en marche.
Les antidépresseurs sont aussi des recapturateurs de dopamine ou sérotonine qui vont vous procurer de la dopamine et de la sérotonine artificiellement comme une addiction. Je vous invite à regarder la notice de vos antidépresseurs pour voir la phrase “recapturateur de sérotonine ou dopamine“. C'est pour cela que beaucoup de personnes ne peuvent plus se passer de leurs antidépresseurs pourtant prescrits pour 6 à 8 semaines maximum, car sans le savoir ils sont addicts à des drogues “ propres “ mais si nocives sur le long terme. Car anesthésier le cerveau limbique de force pendant des années pouce petit à petit à se couper de certaines émotions pourtant essentielles est même vitale pour notre vie. 50 à 60 % des personnes qui ont pris des benzodiazépines (antidépresseurs) ou avoir de grosses addictions sur le long terme vont développer des maladies neurodégénératives.
Ses blessures et frustrations sont très souvent enflammées par la vie que nous menons et acceptons et qui pourtant ne nous convient pas ou plus vraiment.
Notre cerveau émotionnel (cerveau limbique) n’arrive pas à lâcher, il analyse tout et tout le temps de peur que ses frustrations et blessures ne resurgissent. Tout cela sans même que nous nous en rendions compte puisque tout cela date de notre enfance et très souvent de notre petite enfance. Cela fait partie totalement de nous, c'est pour cela que nous n’arrivons pas le conscientiser.
Pour reposer cette partie émotionnelle de notre cerveau qui analyse tout est tout le temps celui-ci à trouver la solution pour ralentir où je dirais plutôt l'anesthésie. La solution qu'il a trouvée est de se faire du bien à travers des addictions ou des récompenses qui vont lui faire du bien à travers des poussées de dopamine ou sérotonine que l’on peut très bien voir en imagerie médicale. On voit très bien le cerveau s'apaiser après la prise de notre produit préféré. Alcool, tabac, drogue, achat compulsif, pornographie, jeux, nourriture ….
Tous ces produits nous font du bien pendant un plus ou moins long moment, mais comme l'anesthésie ne dure que peu de temps le cerveau en redemande coûte que coûte, c’est alors là que le système additionnel se met en marche.
Les antidépresseurs sont aussi des recapturateurs de dopamine ou sérotonine qui vont vous procurer de la dopamine et de la sérotonine artificiellement comme une addiction. Je vous invite à regarder la notice de vos antidépresseurs pour voir la phrase “recapturateur de sérotonine ou dopamine“. C'est pour cela que beaucoup de personnes ne peuvent plus se passer de leurs antidépresseurs pourtant prescrits pour 6 à 8 semaines maximum, car sans le savoir ils sont addicts à des drogues “ propres “ mais si nocives sur le long terme. Car anesthésier le cerveau limbique de force pendant des années pouce petit à petit à se couper de certaines émotions pourtant essentielles est même vitale pour notre vie. 50 à 60 % des personnes qui ont pris des benzodiazépines (antidépresseurs) ou avoir de grosses addictions sur le long terme vont développer des maladies neurodégénératives.
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