Hélène Marcoz cherche, en photographie ou en vidéo, à tisser des liens entre regard, image, lieu et temporalité.
Dans chacune de ses photographies se décantent les impressions de plusieurs images, comme si chacune d’elle portait l’empreinte infime laissée par la précédente.
Hélène a travaillé pendant deux ans des prises de vues au sein du musée. Le résultat est un dialogue sensible entre ses créations et les collections du musée.
La série intitulée "D’après", explore le rapport entre le temps infini de l'œuvre accrochée sur le mur du musée et la fugacité du regard du visiteur. Car, après tout, que serait l'œuvre sans le regard qu'on lui porte ?
[Ouverture 2021, sous réserve]
Dans chacune de ses photographies se décantent les impressions de plusieurs images, comme si chacune d’elle portait l’empreinte infime laissée par la précédente.
Hélène a travaillé pendant deux ans des prises de vues au sein du musée. Le résultat est un dialogue sensible entre ses créations et les collections du musée.
La série intitulée "D’après", explore le rapport entre le temps infini de l'œuvre accrochée sur le mur du musée et la fugacité du regard du visiteur. Car, après tout, que serait l'œuvre sans le regard qu'on lui porte ?
[Ouverture 2021, sous réserve]
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