Claude Debussy, Arabesque (1890)
Orchestre Le Palais royal dirigé par Jean-Philippe Sarcos
"Paris du Second Empire à la Belle Epoque"
Décembre 1852 : fraîchement proclamé empereur, Napoléon III fait revivre une tradition qui avait disparu sous la IIe République : la vie de cour. En instituant la « fête impériale », il redonne au Tout-Paris mondain l’occasion de se réunir lors de bals, banquets, et autres soirées festives. La Ville Lumière n’a pas fini d’inspirer les peintres, compositeurs et poètes qui s’enivrent des Fêtes galantes organisées partout dans la capitale.
Quelques mois plus tôt, comme un présage, Camille Saint-Saëns composait le Chœur de Sylphes pour le Prix de Rome, premier pas vers le renouveau de la musique instrumentale française, qui avait pâti des années durant de l’hégémonie germanique. Grâce à l’énergie déployée par un certain Claude Debussy, dit « de France », pour faire briller son « Ars Gallica », la musique française se réinvente, notamment entre les murs du Conservatoire, alors dirigé par Gabriel Fauré.
Vidéo réalisée le 14 mars 2018 dans la Salle historique du premier Conservatoire par Jules Marquis.
DISTRIBUTION
Benjamin Prins, mise en espace
Orlando Bass, piano
Le Palais royal, solistes et chœur
Jean-Philippe Sarcos, direction
Gregor Daronian Kirchner, assistant à la mise en espace
Béatrice Lachaussée, lumières
Orchestre Le Palais royal dirigé par Jean-Philippe Sarcos
"Paris du Second Empire à la Belle Epoque"
Décembre 1852 : fraîchement proclamé empereur, Napoléon III fait revivre une tradition qui avait disparu sous la IIe République : la vie de cour. En instituant la « fête impériale », il redonne au Tout-Paris mondain l’occasion de se réunir lors de bals, banquets, et autres soirées festives. La Ville Lumière n’a pas fini d’inspirer les peintres, compositeurs et poètes qui s’enivrent des Fêtes galantes organisées partout dans la capitale.
Quelques mois plus tôt, comme un présage, Camille Saint-Saëns composait le Chœur de Sylphes pour le Prix de Rome, premier pas vers le renouveau de la musique instrumentale française, qui avait pâti des années durant de l’hégémonie germanique. Grâce à l’énergie déployée par un certain Claude Debussy, dit « de France », pour faire briller son « Ars Gallica », la musique française se réinvente, notamment entre les murs du Conservatoire, alors dirigé par Gabriel Fauré.
Vidéo réalisée le 14 mars 2018 dans la Salle historique du premier Conservatoire par Jules Marquis.
DISTRIBUTION
Benjamin Prins, mise en espace
Orlando Bass, piano
Le Palais royal, solistes et chœur
Jean-Philippe Sarcos, direction
Gregor Daronian Kirchner, assistant à la mise en espace
Béatrice Lachaussée, lumières
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