Le DPCP m’accuse au criminel sans prendre de photographies et empreintes digitales

Le DPCP m’accuse au criminel sans prendre de photographies et empreintes digitales.
Pourtant une de ces accusations; c’est 4 ans minimum de prison.
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À VENDRE : Une histoire vraie survenue le vendredi 13 septembre 2013 au Québec. Une histoire remplie de corruption et d’actes criminels commis par des personnes liées au système judiciaire.
Un camouflage sans précédant pour cacher une tentative de meurtre par un membre d’un groupe tactique d’intervention la Sureté du Québec.
Ce membre du GTI avait pour mission d’éliminer coûte que coûte un méchant. Quand il l’a trouvé et comme il était au service de la Sûreté du Québec, il avait carte blanche pour utiliser une mitraillette avec balles explosives. Dispositif interdit même en temps de guerre.
La victime, d’origine vietnamienne se baladait dans son domaine privé, il tombe inconscient après avoir reçu une balle explosive dans le bras. Il n’a jamais vu qu’une mission était en cours.
Le policier embusquée et en sécurité avait tout le loisir d’abattre cet homme innocent.
La ministre de la sécurité publique ordonne une enquête indépendante. Des enquêteurs au service de la sureté du Québec enquêtent sur leurs collègues.
La police de la ville de Québec avec l’rapport d’enquête indépendant ministériel no QUE 130913-140, leur vient en aide, pour des destructions des preuves, modifiée la scène de crime, fabriqué des preuves et parjures, on peut deviner la suite…
Le résultat est frustrant et décevant pour la victime qui souffre mentalement et physiquement depuis 8 ans.
Il demande que justice soit faite, juste la justice.
Inclus dans la transaction :
Site où a lieu l’évènement 2013, pour les tournages Les notes de sténos de cour de 2013 à 2022 Des notes personnelles et les enquêtes faites par la victime Des rapports, courriels de la police et du ministère de la sécurité publique Le rapport de l’école nationale de police Preuves de harcèlement Dossier d’un avocat condamné par la victime Des audio avec plusieurs personnes du système de justice.
Des photos exclusives
Des articles de journaux et reportages faits par les médias (ne sont plus disponibles sur le Web.)
La victime offre d’assister, échanger et partager toutes les ressources nécessaires pour produire une série ou un film.

Contactez-moi : domaineprestige@live.ca