L'AIGLE NOIR BARBARA par Louis de Coriolis

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" Juste pour le plaisir " En hommage à cette grande dame de la chanson française " L'AIGLE NOIR " parmi tant d'autres à interpréter
Barbara (ou Barbara Brodi à ses débuts), née Monique Andrée Serf le 9 juin 1930 à Paris 17e et morte le 24 novembre 1997 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), est une auteur-compositrice-interprète française.
Sa poésie, servie par l'harmonie de ses compositions et la finesse de ses interprétations, lui assure un public fidèle quarante ans durant. Nombre de ses chansons sont devenues des classiques de la chanson française, notamment : Une petite cantate, Dis, quand reviendras-tu ?, Nantes, Göttingen, La Dame brune, L'Aigle noir, Marienbad ou encore Ma plus belle histoire d'amour.Barbara a joué dans trois films pour le cinéma et dans deux pièces musicales, Madame en 1970 et Lily passion (avec Gérard Depardieu) en 1985.
Monique Serf a 16 ans. L’été est assombri par la mort de sa grand-mère. Peu attirée par les études, elle ambitionne depuis longtemps de devenir pianiste mais son rêve est brisé depuis 1944, un kyste à la main droite ayant obligé les médecins de Grenoble à intervenir à sept reprises et sectionner les tendons. Ses parents promettent de lui offrir des cours de chant. Elle s’inscrit à ceux de Mme Dusséqué. Sa vie en est changée. Au bout de quelques leçons, son professeur la présente à maître Paulet, enseignant au Conservatoire de Paris, qui la prend comme élève en 1947
Dans le nouvel appartement, un piano loué par son père est installé ; Monique Serf en joue d’instinct, sans prendre de leçons. La jeune fille entre au Conservatoire comme auditrice, mais au répertoire de chant classique, qui l'ennuie, elle préfère celui de la chanson populaire, ayant rencontré à l'ABC l'univers de Piaf. Elle arrête les cours en 1948. La même année, après avoir passé une audition au théâtre Mogador, elle est engagée comme mannequin-choriste dans l’opérette Violettes impériales.
Un jour de 1949, son père abandonne soudainement le foyer, pour ne plus revenir. Bientôt, la même année, la location du piano ne peut plus être honorée. Contrainte de s’en séparer, elle vit un déchirement.
Voulant à tout prix concrétiser son rêve, devenir « pianiste chantante », elle quitte Paris en février 1950. Grâce à l’argent prêté par une amie, elle se rend à Bruxelles chez un cousin, Sacha Piroutsky, qu’elle quitte au bout de deux mois car il devenait violent. Sans ressources ni connaissances, la vie est difficile. Au hasard d’une rencontre, elle rejoint une communauté d’artistes à Charleroi, qui se réunissent dans un local appelé La Mansarde. Là, elle trouve de l’aide et commence à chanter dans des cabarets sous le nom de Barbara Brodi (en l'honneur d'une de ses aïeules ukrainiennes appelée Varvara, ou de sa grand-mère Hava Brodsky). Son répertoire est constitué de chansons d’Édith Piaf, Marianne Oswald, Germaine Montero, Juliette Gréco. En 1950, elle rencontre Brel l'encourage à écrire elle-même ses propres chansons ; il sera donc le premier à qui elle fera découvrir ses premiers textes, dont ses premiers succès. Brel dira « Barbara, c'est une fille bien. Elle a un grain, mais un beau grain. On est un peu amoureux, comme ça, depuis longtemps », En 1971, il lui offrira un premier rôle dans son film Franz. À partir de 1981, soit trois ans après la mort de Brel, La Valse de Franz, composée par Brel, sera jouée dans tous les spectacles de Barbara, En 1990, elle créera au théâtre Mogador la chanson Gauguin (Lettre à Jacques Brel). Fin 1951, Elle peut toutefois y rencontrer et observer, sans jamais chanter, Boris Vian avec Henri Crolla et Louis Bessières ou encore Mouloudji. Elle est mise en relation avec Ethery Rouchadze, pianiste géorgienne qui accepte de l’accompagner et auprès de qui elle se perfectionnera au piano. Habitué des lieux de spectacles, il se pique d’écrire quelques chansons. Fin 1952, il déniche le « théâtre du Cheval blanc » et use de ses relations pour y ouvrir un cabaret afin qu’elle s’y produise sous le nom de Barbara. Le bouche à oreille aidant, le succès ne se fait pas attendre. Au début de l’année 1955, elle enregistre deux chansons chez Decca : Mon pote le gitan et L'œillet blanc (parfois noté L'œillet rouge), diffusées en 78 tours et 45 tours23. En 1958, elle réussit à s’imposer, sous le surnom de La Chanteuse de minuit, si bien que sa notoriété grandit et lui attire un public de fidèles, en particulier parmi les étudiants du Quartier latin. C’est sous le nom de Barbara qu’elle effectue son premier passage à la télévision, le 12 juillet 1958, sur l’unique chaîne de la RTF, dans l’émission Cabaret du Soir, où la présentatrice la compare à Yvette Guilbert et lui assure « qu’elle deviendra certainement une grande vedette ». engagée par Pathé-Marconi, elle enregistre, sous le label La Voix de son Maître, son premier Super 45 tours ,le premier de ces albums est couronné par l’Académie Charles-Cros dans la catégorie « Meilleure interprète ».
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Cours de Theatre

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