Le 21 septembre 2018.
Un maçon de 44 ans, était retrouvé mort d'une balle dans la tête à son domicile, dans l'Ouest de Lyon.
Les premières semaines de l’enquête, n’ont pas permis aux autorités de désigner le coupable.
Toutefois, élément intéressant viendra les mettre sur une piste sérieuse. La femme de la victime, se serait ruée à la banque pour ouvrir le coffre, vider le compte commun et faire main basse sur l’assurance-vie.
Pour les enquêteurs, ceci constitue sans nul doute le mobile meurtre. Ainsi ils espèrent des preuves irréfutables ou des aveux de la part de la suspecte.
En mai 2019, quelques mois après la découverte du corps sans vie de Michel Zirafa, chez lui, dans la ville de Thurins, son épouse, Rose Filippazzo, était passée aux aveux, avant d'être arrêtée. Surnommée "la veuve noire" par les médias, cette dernière a expliqué avoir subi de "nombreuses violences physiques" ainsi que des "viols" de la part de son conjoint. Le soir de la mort de Michel Zirafa, une violente dispute aurait éclaté entre sa femme et lui, et celle-ci aurait attendu qu'il s'endorme avant de lui tirer une balle dans la tête. Après quoi, elle s'est débarrassée de l'arme et a quitté le domicile pendant plusieurs jours pour prétexter un séjour en vacances avant de "découvrir" le corps de son mari à son retour et d'appeler les secours.
L’accusation, elle, penche pour un mobile financier : Rose Filippazzo, dès le décès de Michel Zirafa, se serait ruée à la banque pour ouvrir le coffre, vider le compte commun et faire main basse sur l’assurance-vie.
Un maçon de 44 ans, était retrouvé mort d'une balle dans la tête à son domicile, dans l'Ouest de Lyon.
Les premières semaines de l’enquête, n’ont pas permis aux autorités de désigner le coupable.
Toutefois, élément intéressant viendra les mettre sur une piste sérieuse. La femme de la victime, se serait ruée à la banque pour ouvrir le coffre, vider le compte commun et faire main basse sur l’assurance-vie.
Pour les enquêteurs, ceci constitue sans nul doute le mobile meurtre. Ainsi ils espèrent des preuves irréfutables ou des aveux de la part de la suspecte.
En mai 2019, quelques mois après la découverte du corps sans vie de Michel Zirafa, chez lui, dans la ville de Thurins, son épouse, Rose Filippazzo, était passée aux aveux, avant d'être arrêtée. Surnommée "la veuve noire" par les médias, cette dernière a expliqué avoir subi de "nombreuses violences physiques" ainsi que des "viols" de la part de son conjoint. Le soir de la mort de Michel Zirafa, une violente dispute aurait éclaté entre sa femme et lui, et celle-ci aurait attendu qu'il s'endorme avant de lui tirer une balle dans la tête. Après quoi, elle s'est débarrassée de l'arme et a quitté le domicile pendant plusieurs jours pour prétexter un séjour en vacances avant de "découvrir" le corps de son mari à son retour et d'appeler les secours.
L’accusation, elle, penche pour un mobile financier : Rose Filippazzo, dès le décès de Michel Zirafa, se serait ruée à la banque pour ouvrir le coffre, vider le compte commun et faire main basse sur l’assurance-vie.
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- podcast chroniques criminelles, jacques pradel, chroniques criminelles 2023
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