Du 17 juin au 14 juillet 2026 à l'Opéra Bastille
Informations et réservations sur https://www.operadeparis.fr/saison-25-26/ballet/la-bayadere
C’est sur la scène du Palais Garnier que le danseur Rudolf Noureev se révèle au public occidental en 1961 et sur cette même scène que le chorégraphe salue pour la dernière fois le public en 1992, à l’occasion de sa version de La Bayadère. OEuvre ultime, ce ballet adaptant celui de Marius Petipa traduit la passion de Noureev pour le répertoire russe tout comme son goût pour la flamboyance. Dans une Inde fantasmée, où un gigantesque éléphant parade devant le somptueux palais du rajah et où une idole dorée succède à une danse des éventails, le ballet raconte les amours contrariées du guerrier Solor avec la bayadère Nikiya, une danseuse sacrée. Joyau du répertoire de l’Opéra national de Paris, La Bayadère éblouit par ses variations virtuoses, ses ensembles impressionnants et la pureté de son « Acte des Ombres » au cours duquel 32 danseuses en tutus blancs dessinent lentement leurs arabesques, avec une poésie qui tient de la magie.
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C’est sur la scène du Palais Garnier que le danseur Rudolf Noureev se révèle au public occidental en 1961 et sur cette même scène que le chorégraphe salue pour la dernière fois le public en 1992, à l’occasion de sa version de La Bayadère. OEuvre ultime, ce ballet adaptant celui de Marius Petipa traduit la passion de Noureev pour le répertoire russe tout comme son goût pour la flamboyance. Dans une Inde fantasmée, où un gigantesque éléphant parade devant le somptueux palais du rajah et où une idole dorée succède à une danse des éventails, le ballet raconte les amours contrariées du guerrier Solor avec la bayadère Nikiya, une danseuse sacrée. Joyau du répertoire de l’Opéra national de Paris, La Bayadère éblouit par ses variations virtuoses, ses ensembles impressionnants et la pureté de son « Acte des Ombres » au cours duquel 32 danseuses en tutus blancs dessinent lentement leurs arabesques, avec une poésie qui tient de la magie.
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