Featuring
Fred ZAZOU & les ROLLMOPS :
Giovanni LICATA - Contrebasse /
Pascal HARRAND - Guitares /
Joël HANRIOT - Harmonica /
Jean-Jacques BALLERY - Sax ténor
Dominique DIOT - Sax alto
Patrick GAMBLIN - Trompette
Germain FONTENAILLE - Batterie /
Fred BLANCHARD - paroles & musique, chant, photographie /
Johnny est un drôle de bandit
Toujours la fleur au fusil
Et toutes les femmes sont devant lui
Comme des louves dans la nuit
Mais lui il s’en fout pas mal
Avec sa vieille maman
Ils percent des coffres et se cavalent
Pendant chaque enterrement
En l’élevant sa maman lui a dit :
« Voici les trois règles de vie
Un tu dégaines et deux tu rafles
Trois sans regret tu t’enfuis
Et si le shérif te court après
Avec ses ouailles futées
Regarde en l’air ils vont t’imiter
Et dans l’précipice tomber »
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Est un drôle de bandit
Johnny dort à la belle étoile
Aux côtés de son cheval
Et tous les deux rêvent d’avoine
Pas de la même mais c’est normal
Ils rêvent aussi d’une course insensée
Le long de la voie ferrée
Avec une loco déchaînée
A travers la vallée
Entre deux enterrements, Johnny
Passe son temps dans la prairie
Ou prend des cours d’harmonica
Chez son vieil oncle Josuah
Tout ça pour donner la sérénade
Aux oiseaux, aux grillons
En les réchauffant à la dure saison
D’un feu de biftons
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Est un drôle de bandit
C’matin il y a un enterrement
Johnny part chercher sa maman
Aujourd’hui ce s’ra l’plus beau coup
De leur carrière de truands
Mais sa maman il ne trouve pas
Et il comprend déjà
Que pour une fois elle l’excusera
De jouer de l’harmonica
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Te fais donc pas de souci
Ta maman est au paradis
Au paradis des bandits
Fred ZAZOU & les ROLLMOPS :
Giovanni LICATA - Contrebasse /
Pascal HARRAND - Guitares /
Joël HANRIOT - Harmonica /
Jean-Jacques BALLERY - Sax ténor
Dominique DIOT - Sax alto
Patrick GAMBLIN - Trompette
Germain FONTENAILLE - Batterie /
Fred BLANCHARD - paroles & musique, chant, photographie /
Johnny est un drôle de bandit
Toujours la fleur au fusil
Et toutes les femmes sont devant lui
Comme des louves dans la nuit
Mais lui il s’en fout pas mal
Avec sa vieille maman
Ils percent des coffres et se cavalent
Pendant chaque enterrement
En l’élevant sa maman lui a dit :
« Voici les trois règles de vie
Un tu dégaines et deux tu rafles
Trois sans regret tu t’enfuis
Et si le shérif te court après
Avec ses ouailles futées
Regarde en l’air ils vont t’imiter
Et dans l’précipice tomber »
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Est un drôle de bandit
Johnny dort à la belle étoile
Aux côtés de son cheval
Et tous les deux rêvent d’avoine
Pas de la même mais c’est normal
Ils rêvent aussi d’une course insensée
Le long de la voie ferrée
Avec une loco déchaînée
A travers la vallée
Entre deux enterrements, Johnny
Passe son temps dans la prairie
Ou prend des cours d’harmonica
Chez son vieil oncle Josuah
Tout ça pour donner la sérénade
Aux oiseaux, aux grillons
En les réchauffant à la dure saison
D’un feu de biftons
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Est un drôle de bandit
C’matin il y a un enterrement
Johnny part chercher sa maman
Aujourd’hui ce s’ra l’plus beau coup
De leur carrière de truands
Mais sa maman il ne trouve pas
Et il comprend déjà
Que pour une fois elle l’excusera
De jouer de l’harmonica
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Johnny, Johnny
Te fais donc pas de souci
Ta maman est au paradis
Au paradis des bandits
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