Marie Magdalene Dietrich, dite Marlene Dietrich, née le 27 décembre 1901 à Berlin (Allemagne) et morte le 6 mai 1992 à Paris (France), est une actrice et chanteuse allemande naturalisée américaine.
Adolescente, elle abandonne la musique pour se consacrer au métier d'actrice. Elle apparaît dans son premier film, La Tragédie de l'amour , en 1923. Elle explore les notions de féminisme avec ses rôles de femmes fatales au cinéma, notamment dans le film Maroc.
L'actrice et chanteuse Marlene Dietrich est née Maria Magdalene Dietrich le 27 décembre 1901 à Berlin, en Allemagne. Figurant parmi les actrices les plus glamour des années 1930 et 1940, Marlene Dietrich est reconnue pour son sex-appeal explosif, sa voix singulière et son style personnel atypique. Son père, policier, décède alors qu'elle est encore jeune, et sa mère épouse plus tard Édouard von Losch, officier de cavalerie. Durant son enfance, Marlene Dietrich étudie le français et l'anglais dans une école privée. Elle prend également des cours de violon dans l'espoir de devenir violoniste professionnelle.
À la fin de son adolescence, Dietrich abandonne la musique pour se consacrer au théâtre. Elle fréquente l'école d'art dramatique de Max Reinhardt et commence rapidement à décrocher de petits rôles au théâtre et dans des films allemands. Face à la désapprobation de sa famille, Dietrich choisit d'utiliser une combinaison de son prénom et de son deuxième prénom dans sa vie professionnelle.
En 1923, Dietrich épousa Rudolf Sieber, un professionnel du cinéma qui l'aida à décrocher un rôle dans La Tragédie de l'amour (1923). Le couple accueillit leur unique enfant, Maria, l'année suivante. Ils se séparèrent plus tard, mais ne divorcèrent jamais.
La carrière de Dietrich en Allemagne commença à décoller à la fin des années 1920. Elle marqua l'histoire du cinéma en jouant dans le premier film parlant allemand, L'Ange bleu (1930), du réalisateur hollywoodien Josef von Sternberg. Une version anglaise, L' Ange bleu , fut également tournée avec la même distribution. Avec sa beauté sensuelle et ses manières sophistiquées, Dietrich était toute désignée pour le rôle de Lola Lola, une danseuse de boîte de nuit. Le film suit le déclin d'un professeur local qui abandonne tout pour nouer une relation avec son personnage. Grand succès, le film contribua à faire de Dietrich une star aux États-Unis.
En avril 1930, peu après la première de L'Engel bleu à Berlin, Dietrich s'installe aux États-Unis. Travaillant de nouveau avec von Sternberg, elle joue dans Le Maroc (1930) avec Gary Cooper. Elle y incarne Amy Jolly, une chanteuse de cabaret qui se retrouve mêlée à un triangle amoureux avec un membre de la Légion étrangère (Cooper) et un riche playboy (Adolphe Menjou). Pour ce film, Dietrich reçoit sa seule et unique nomination aux Oscars.
Continuant à jouer la femme fatale, Dietrich bouscula les idées reçues sur la féminité. Elle portait souvent des pantalons et des tenues plus masculines, à l'écran comme en dehors, ce qui contribua à son allure unique et créa de nouvelles tendances. Dietrich tourna plusieurs autres films avec von Sternberg, dont Dishonored (1931), Shanghai Express (1932) et L'Impératrice écarlate (1934), dans lequel elle incarnait la célèbre Catherine la Grande, membre de la royauté russe. Leur dernier film ensemble fut Le Diable est une femme (1935), considéré comme son film préféré. Considérée par beaucoup comme son interprétation la plus aboutie d'une vamp, Dietrich incarna une tentatrice impitoyable qui captivait plusieurs hommes pendant la révolution espagnole.
Dietrich adoucit plus tard son image en se lançant dans des films plus légers. Aux côtés de Jimmy Stewart, elle incarne une fille de saloon dans la comédie western Destry Rides Again (1939). À la même époque, Dietrich tourne également plusieurs films avec John Wayne, dont Seven Sinners (1940), The Spoilers (1942) et Pittsburgh (1942). On raconte qu'ils entretenaient une relation amoureuse, qui se transforma plus tard en une solide amitié.
Au milieu des années 1970, Dietrich abandonna le métier d'actrice. Elle s'installa à Paris où elle vécut le reste de sa vie dans une quasi-recluse. Au milieu des années 1980, elle commenta le documentaire de Maximillian Schell, Marlene (1984), mais refusa d'apparaître devant la caméra.
Dietrich est décédée le 6 mai 1992 à son domicile parisien. Après ses funérailles, elle a été enterrée aux côtés de sa mère à Berlin. Elle laisse derrière elle sa fille Maria et ses quatre petits-enfants. Sa fille a écrit sa propre biographie de sa célèbre mère, Marlene Dietrich , au milieu des années 1990.
Adolescente, elle abandonne la musique pour se consacrer au métier d'actrice. Elle apparaît dans son premier film, La Tragédie de l'amour , en 1923. Elle explore les notions de féminisme avec ses rôles de femmes fatales au cinéma, notamment dans le film Maroc.
L'actrice et chanteuse Marlene Dietrich est née Maria Magdalene Dietrich le 27 décembre 1901 à Berlin, en Allemagne. Figurant parmi les actrices les plus glamour des années 1930 et 1940, Marlene Dietrich est reconnue pour son sex-appeal explosif, sa voix singulière et son style personnel atypique. Son père, policier, décède alors qu'elle est encore jeune, et sa mère épouse plus tard Édouard von Losch, officier de cavalerie. Durant son enfance, Marlene Dietrich étudie le français et l'anglais dans une école privée. Elle prend également des cours de violon dans l'espoir de devenir violoniste professionnelle.
À la fin de son adolescence, Dietrich abandonne la musique pour se consacrer au théâtre. Elle fréquente l'école d'art dramatique de Max Reinhardt et commence rapidement à décrocher de petits rôles au théâtre et dans des films allemands. Face à la désapprobation de sa famille, Dietrich choisit d'utiliser une combinaison de son prénom et de son deuxième prénom dans sa vie professionnelle.
En 1923, Dietrich épousa Rudolf Sieber, un professionnel du cinéma qui l'aida à décrocher un rôle dans La Tragédie de l'amour (1923). Le couple accueillit leur unique enfant, Maria, l'année suivante. Ils se séparèrent plus tard, mais ne divorcèrent jamais.
La carrière de Dietrich en Allemagne commença à décoller à la fin des années 1920. Elle marqua l'histoire du cinéma en jouant dans le premier film parlant allemand, L'Ange bleu (1930), du réalisateur hollywoodien Josef von Sternberg. Une version anglaise, L' Ange bleu , fut également tournée avec la même distribution. Avec sa beauté sensuelle et ses manières sophistiquées, Dietrich était toute désignée pour le rôle de Lola Lola, une danseuse de boîte de nuit. Le film suit le déclin d'un professeur local qui abandonne tout pour nouer une relation avec son personnage. Grand succès, le film contribua à faire de Dietrich une star aux États-Unis.
En avril 1930, peu après la première de L'Engel bleu à Berlin, Dietrich s'installe aux États-Unis. Travaillant de nouveau avec von Sternberg, elle joue dans Le Maroc (1930) avec Gary Cooper. Elle y incarne Amy Jolly, une chanteuse de cabaret qui se retrouve mêlée à un triangle amoureux avec un membre de la Légion étrangère (Cooper) et un riche playboy (Adolphe Menjou). Pour ce film, Dietrich reçoit sa seule et unique nomination aux Oscars.
Continuant à jouer la femme fatale, Dietrich bouscula les idées reçues sur la féminité. Elle portait souvent des pantalons et des tenues plus masculines, à l'écran comme en dehors, ce qui contribua à son allure unique et créa de nouvelles tendances. Dietrich tourna plusieurs autres films avec von Sternberg, dont Dishonored (1931), Shanghai Express (1932) et L'Impératrice écarlate (1934), dans lequel elle incarnait la célèbre Catherine la Grande, membre de la royauté russe. Leur dernier film ensemble fut Le Diable est une femme (1935), considéré comme son film préféré. Considérée par beaucoup comme son interprétation la plus aboutie d'une vamp, Dietrich incarna une tentatrice impitoyable qui captivait plusieurs hommes pendant la révolution espagnole.
Dietrich adoucit plus tard son image en se lançant dans des films plus légers. Aux côtés de Jimmy Stewart, elle incarne une fille de saloon dans la comédie western Destry Rides Again (1939). À la même époque, Dietrich tourne également plusieurs films avec John Wayne, dont Seven Sinners (1940), The Spoilers (1942) et Pittsburgh (1942). On raconte qu'ils entretenaient une relation amoureuse, qui se transforma plus tard en une solide amitié.
Au milieu des années 1970, Dietrich abandonna le métier d'actrice. Elle s'installa à Paris où elle vécut le reste de sa vie dans une quasi-recluse. Au milieu des années 1980, elle commenta le documentaire de Maximillian Schell, Marlene (1984), mais refusa d'apparaître devant la caméra.
Dietrich est décédée le 6 mai 1992 à son domicile parisien. Après ses funérailles, elle a été enterrée aux côtés de sa mère à Berlin. Elle laisse derrière elle sa fille Maria et ses quatre petits-enfants. Sa fille a écrit sa propre biographie de sa célèbre mère, Marlene Dietrich , au milieu des années 1990.
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