GÉNÉRAL LÂCHE DONNE UN COUP DE PIED À UNE AGENTE DU FBI NOIRE ET EST SURPRIS LORSQU'ELLE SE DÉFEND

Elle gara la voiture sur la bande d'arrêt d'urgence et prit une profonde inspiration pour se calmer. En coupant le moteur, elle vit le conducteur du 4x4 sortir furieux de son véhicule. C'était un homme imposant, aux cheveux courts et au regard empreint d'autorité et d'arrogance. Isabelle le reconnut avant même qu'il ne parle : le général Marc Waller.

Elle ne le connaissait pas personnellement, mais sa réputation était bien connue dans les cercles du renseignement. C'était un homme habitué à commander et à ne jamais être défié.

— Vous êtes aveugle ou simplement incompétente ? — cria Marc en s’approchant d’un pas ferme.

Isabelle descendit de la voiture, restant calme mais en alerte.
— C’est vous qui m’avez percutée, général, — répondit-elle d’un ton ferme, sans hostilité.

Marc ne semblait pas l’entendre. Une colère irrationnelle montait en lui. Il s'approcha de la voiture d’Isabelle et l’inspecta, comme s'il cherchait une raison de l’accuser. La tension entre eux augmentait à chaque seconde. Il désignait les dégâts, gesticulait et l’insultait, ignorant toutes ses tentatives de dialogue.

— Ce genre de personne pense que l'argent achète tout ! — s’exclama-t-il en frappant violemment le capot de la voiture, y laissant une bosse visible.

Isabelle observait en silence, analysant chacun de ses mouvements. Elle savait que répondre avec agressivité ne servirait à rien, mais elle refusait de paraître soumise. Lorsqu’elle tenta de prendre à nouveau la parole, il la fixa d’un regard venimeux.

— Quelle est cette voiture ? — demanda-t-il d’un ton plus froid, presque inquisitorial. Il fit lentement le tour du véhicule, l’examinant comme un prédateur observe sa proie.

Isabelle comprit qu'il avait remarqué quelque chose d’inhabituel. Un détail du véhicule qui passerait inaperçu aux yeux d’un civil, mais pas à un militaire expérimenté. À présent, il semblait plus intéressé par la voiture que par la dispute.

— Qui êtes-vous vraiment ? — murmura-t-il d’une voix basse et menaçante.

Isabelle, consciente du danger, choisit de préserver son identité.
— Je ne suis qu'une femme d’affaires ayant acquis une voiture luxueuse. Pour discuter des dommages, je vous recommande d’appeler les autorités.

L’évocation des autorités changea l’expression de Marc. Il sourit, mais ce n'était pas un sourire apaisé. C'était un sourire menaçant.

— Je suis l’autorité, — déclara-t-il avant d’abattre son poing sur le rétroviseur, le brisant d’un coup sec.

Marc, débordant de colère, pointait du doigt les dégâts sur sa voiture comme si c'était une offense personnelle. Il se rapprochait d’elle, envahissant son espace de manière intimidante, tandis que sa voix résonnait sur le bord de la route.

Tu seras surpris par ce qui va se passer dans cette histoire. Un retournement incroyable et inimaginable !

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