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Laisser Des Traces
Paroles et musique: Gaurdon'
Accordéon: Jean Pierre Yvert
Il sonne un drôle de glas dans la boucherie voisine
Où l'on tue le veau gras au fond de la cuisine
Les beuglements joyeux de la bête sacrifiée
Montent jusque z'aux cieux en célestes envolées
Comme pour laisser des traces
Laisser des traces
Comme un artiste qui fait sa dernière passe
Dont la voix tremble devant l'idée impensable
Qu'il pourrait bien ne pas être indispensable
Tout recouvert de sang sur le pas de sa porte
Le boucher en rotant brandit une sorte
De gros ballon enflé c'est la vessie du vent
Qu'il a ainsi gonflée pour faire rire ses clients
Comme pour laisser des traces
Laisser des traces
Comme un peintre qui tend sa dernière toile
Dont les mains tremblent devant l'idée impensable
Qu'il pourrait bien ne pas être indispensable
Et il tend son prodige à l'un de ses enfants
C'est le fils prodigue qui se barre en pleurant
Car l’œuvre ne suffit pas et lui se l'est promis
"Je sculpterai le bon dieu dans un os de génisse"
Comme pour laisser des traces
Laisser des traces
Comme une pute qui fait sa dernière passe
Dont la vie tremble devant l'idée impensable
Qu'elle pourrait bien ne pas être indispensable
Laisser des traces, laisser des traces
Des perversions, des créations, des massacres
Ne pas frémir de voir la mort bien en face
Avec, un indicible amour.
Laisser Des Traces
Paroles et musique: Gaurdon'
Accordéon: Jean Pierre Yvert
Il sonne un drôle de glas dans la boucherie voisine
Où l'on tue le veau gras au fond de la cuisine
Les beuglements joyeux de la bête sacrifiée
Montent jusque z'aux cieux en célestes envolées
Comme pour laisser des traces
Laisser des traces
Comme un artiste qui fait sa dernière passe
Dont la voix tremble devant l'idée impensable
Qu'il pourrait bien ne pas être indispensable
Tout recouvert de sang sur le pas de sa porte
Le boucher en rotant brandit une sorte
De gros ballon enflé c'est la vessie du vent
Qu'il a ainsi gonflée pour faire rire ses clients
Comme pour laisser des traces
Laisser des traces
Comme un peintre qui tend sa dernière toile
Dont les mains tremblent devant l'idée impensable
Qu'il pourrait bien ne pas être indispensable
Et il tend son prodige à l'un de ses enfants
C'est le fils prodigue qui se barre en pleurant
Car l’œuvre ne suffit pas et lui se l'est promis
"Je sculpterai le bon dieu dans un os de génisse"
Comme pour laisser des traces
Laisser des traces
Comme une pute qui fait sa dernière passe
Dont la vie tremble devant l'idée impensable
Qu'elle pourrait bien ne pas être indispensable
Laisser des traces, laisser des traces
Des perversions, des créations, des massacres
Ne pas frémir de voir la mort bien en face
Avec, un indicible amour.
- Catégories
- Peintures
- Mots-clés
- mauvais genre, image de synthese, humour noir
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