Cette Bayân de Seydi Mouhamed El Cheikh présente une réflexion spirituelle profonde sur la fin des temps et les rappels divins dans l'univers. Il commence par louer Allah et saluer le Prophète Muhammad (PSL) ainsi que Cheikh Ahmad Ibn Mouhamed At-Tidiane. Il aborde la pratique du jeûne pendant le Ramadan, en soulignant les trois dimensions principales enseignées par le Prophète : le jeûne pur pour Allah, l'acquittement de la zakat al-fitr, et la persévérance des vertus au-delà de Ramadan.
La causerie met ensuite en lumière que les phénomènes célestes, comme les éclipses lunaires et solaires observées récemment, sont des rappels des signes d'Allah, souvent liés à des événements majeurs de la fin des temps. Le Prophète (PSL) avait prédit ces éclipses comme des signes annonciateurs, renforçant l'idée que l'univers lui-même participe activement à l'avertissement divin.
Une référence est faite à un récent tremblement de terre en Birmanie, soulignant que de tels cataclysmes sont des rappels divins, pour rappeler que la terre appartient à Allah et que tout ce qui se passe est sous Sa souveraineté.
Enfin, elle évoque une histoire d'un homme ayant adoré Allah pendant 400 ans, mais qui, au moment de sa récompense, se voit rappeler que ses actes ne sont rien comparés aux bienfaits divins qu'il a reçus. Ce passage illustre l'idée que l'homme ne doit jamais s'attribuer la moindre gloire pour ses actions, mais reconnaître que tout bienfait vient d'Allah.
En somme, elle invite à réfléchir sur les signes de la fin des temps, à prendre conscience de la miséricorde d'Allah, et à ne jamais oublier que tout ce que nous avons et faisons est en réalité un don divin.
La causerie met ensuite en lumière que les phénomènes célestes, comme les éclipses lunaires et solaires observées récemment, sont des rappels des signes d'Allah, souvent liés à des événements majeurs de la fin des temps. Le Prophète (PSL) avait prédit ces éclipses comme des signes annonciateurs, renforçant l'idée que l'univers lui-même participe activement à l'avertissement divin.
Une référence est faite à un récent tremblement de terre en Birmanie, soulignant que de tels cataclysmes sont des rappels divins, pour rappeler que la terre appartient à Allah et que tout ce qui se passe est sous Sa souveraineté.
Enfin, elle évoque une histoire d'un homme ayant adoré Allah pendant 400 ans, mais qui, au moment de sa récompense, se voit rappeler que ses actes ne sont rien comparés aux bienfaits divins qu'il a reçus. Ce passage illustre l'idée que l'homme ne doit jamais s'attribuer la moindre gloire pour ses actions, mais reconnaître que tout bienfait vient d'Allah.
En somme, elle invite à réfléchir sur les signes de la fin des temps, à prendre conscience de la miséricorde d'Allah, et à ne jamais oublier que tout ce que nous avons et faisons est en réalité un don divin.
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- Seydi Mouhamed El Cheikh, imam ghazali, imam Al Mahdi
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