????Suivez-moi au musée de Montmartre, à Paris, à la découverte de l’exposition « Maximilien Luce, l’instinct du paysage » à voir jusqu’au 14 septembre.
????????????Peu connu, Maximilien Luce est pourtant une figure du néo-impressionnisme, à la fin du 19esiècle. Peintre libre, sensible et engagé, il a consacré son œuvre à capter les vibrations du monde : la lumière, le mouvement, mais aussi les luttes sociales et les paysages du quotidien.
????Ancien ouvrier devenu artiste, anarchiste convaincu, il s’approprie la technique divisionniste initiée par ses amis, les peintres Seurat et Signac, pour mieux en faire un outil d’émotion : peindre un fleuve, un chantier, une usine, c’est avant tout pour lui raconter une histoire humaine.
❗️D’ailleurs, vous connaissez la technique divisionniste ?
????????Elle consiste à appliquer de petites touches ou des points de couleurs purs directement sur la toile, plutôt que de mélanger les couleurs sur la palette. C’est ensuite l’œil du spectateur, à distance, qui recompose les teintes par effet d’optique.
????????Cette méthode permet d’obtenir des effets de lumière plus vibrants, une grande clarté colorée, et une impression de mouvement.
????De Montmartre aux rives industrielles de Belgique, en passant par la Bretagne, la Seine et sa maison de campagne à Rolleboise dans les Yvelines, les toiles de Maximilien Luce sont traversées par une poésie discrète, attentive à la nature, à la lumière et aux hommes.
????️Cette rétrospective (que je vous recommande vivement) rassemble plus de cent œuvres et redonne toute sa place à cet artiste à part, considéré comme le dernier impressionniste.
⚠️L’occasion aussi de redécouvrir le Musée Montmartre et son paisible jardin Renoir!
????????????Peu connu, Maximilien Luce est pourtant une figure du néo-impressionnisme, à la fin du 19esiècle. Peintre libre, sensible et engagé, il a consacré son œuvre à capter les vibrations du monde : la lumière, le mouvement, mais aussi les luttes sociales et les paysages du quotidien.
????Ancien ouvrier devenu artiste, anarchiste convaincu, il s’approprie la technique divisionniste initiée par ses amis, les peintres Seurat et Signac, pour mieux en faire un outil d’émotion : peindre un fleuve, un chantier, une usine, c’est avant tout pour lui raconter une histoire humaine.
❗️D’ailleurs, vous connaissez la technique divisionniste ?
????????Elle consiste à appliquer de petites touches ou des points de couleurs purs directement sur la toile, plutôt que de mélanger les couleurs sur la palette. C’est ensuite l’œil du spectateur, à distance, qui recompose les teintes par effet d’optique.
????????Cette méthode permet d’obtenir des effets de lumière plus vibrants, une grande clarté colorée, et une impression de mouvement.
????De Montmartre aux rives industrielles de Belgique, en passant par la Bretagne, la Seine et sa maison de campagne à Rolleboise dans les Yvelines, les toiles de Maximilien Luce sont traversées par une poésie discrète, attentive à la nature, à la lumière et aux hommes.
????️Cette rétrospective (que je vous recommande vivement) rassemble plus de cent œuvres et redonne toute sa place à cet artiste à part, considéré comme le dernier impressionniste.
⚠️L’occasion aussi de redécouvrir le Musée Montmartre et son paisible jardin Renoir!
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