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Droit de réponse | TF1 | 03/04/1982
Michel Polac invite de nombreuses personnalités à débattre sur le thème du show-business dans la chanson française. Parmi ses invités : Juliette Gréco, Daniel Guichard, Hervé Cristiani, les groupes de rock Carte de Séjour et FFI, André Halimi, Patrice Blanc-Francard, Pierre Perrin, Magaly (du groupe Magaly et Sophie) et Bob Socquet.
La discussion s'oriente vers la définition d'un "tube".Pierre Perrin commente sa chanson "un clair de lune à Maubeuge", l'unique succès de l'artiste. Madame Molinier se plaint de la dégradation de la programmation musicale à la télévision. André Halimi déplore quant à lui, le manque de créativité de la nouvelle chanson française dépendante des grosses maisons de disques.
Juliette Gréco évoque les difficultés des auteurs/chanteurs face à ces "multi-nationales". Magaly raconte la genèse du groupe Sophie et Magaly, leur tube "Le papa pingouin" et les conséquences pour leur carrière d'une rupture de contrat avec leur producteur.
Daniel Guichard, qui ne passe plus sur plusieurs radios, a choisi de devenir son propre distributeur pour ne pas être "cassé" par les multinationales. Juliette Gréco parle du monopole de certains producteurs à la télévision et elle lit une lettre d'un de ces producteurs qui lui est adressée. Un homme, non invité sur le plateau intervient pour défendre avec véhémence le groupe de rock "Carte de séjour" et les artistes de rue. Rachid Taha s'exprime à son tour sur le rejet des médias et des maisons de disques français envers la musique d'origine étrangère. Le groupe de rock FFI reproche d'abord à l'émission de ne pas avoir assez parlé du rock et d'avoir abordé superficiellement le thème du débat, puis demande l'arrêt des taxes sur les instruments de musique pour que les jeunes puissent s'exprimer avec la musique. L'émission se termine dans un brouhaha général déclenché par un perturbateur.
Images d'archive INA
Institut National de l'Audiovisuel
http://www.ina.fr
#INA #Culte
Droit de réponse | TF1 | 03/04/1982
Michel Polac invite de nombreuses personnalités à débattre sur le thème du show-business dans la chanson française. Parmi ses invités : Juliette Gréco, Daniel Guichard, Hervé Cristiani, les groupes de rock Carte de Séjour et FFI, André Halimi, Patrice Blanc-Francard, Pierre Perrin, Magaly (du groupe Magaly et Sophie) et Bob Socquet.
La discussion s'oriente vers la définition d'un "tube".Pierre Perrin commente sa chanson "un clair de lune à Maubeuge", l'unique succès de l'artiste. Madame Molinier se plaint de la dégradation de la programmation musicale à la télévision. André Halimi déplore quant à lui, le manque de créativité de la nouvelle chanson française dépendante des grosses maisons de disques.
Juliette Gréco évoque les difficultés des auteurs/chanteurs face à ces "multi-nationales". Magaly raconte la genèse du groupe Sophie et Magaly, leur tube "Le papa pingouin" et les conséquences pour leur carrière d'une rupture de contrat avec leur producteur.
Daniel Guichard, qui ne passe plus sur plusieurs radios, a choisi de devenir son propre distributeur pour ne pas être "cassé" par les multinationales. Juliette Gréco parle du monopole de certains producteurs à la télévision et elle lit une lettre d'un de ces producteurs qui lui est adressée. Un homme, non invité sur le plateau intervient pour défendre avec véhémence le groupe de rock "Carte de séjour" et les artistes de rue. Rachid Taha s'exprime à son tour sur le rejet des médias et des maisons de disques français envers la musique d'origine étrangère. Le groupe de rock FFI reproche d'abord à l'émission de ne pas avoir assez parlé du rock et d'avoir abordé superficiellement le thème du débat, puis demande l'arrêt des taxes sur les instruments de musique pour que les jeunes puissent s'exprimer avec la musique. L'émission se termine dans un brouhaha général déclenché par un perturbateur.
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