Long fleuve tranquille sur peau d'univers
costume cratère sur desert d'eau douce
Ton corps image mon corps passage
Ton abysse aride en vue et mon corps ému
s’immiscent entre ombre et lumière
les effluves délices au delà des mots et matière
Sur lit de rivière docile, le décor effleure
Je m'habille de feuilles et marche sèche
c’est torrentiel dans les revers du tissu,
les racines dans le ciel et la transparence des feuillus
ton abysse garrigue est dévêtue dans notre danse montagne
le flux de tes plaines s’invite nos corps glissent
nos corps glissent glissent glissent glissent glissent glissent glissent
Lente désillusion d’un idéal irréel :
Une terre, nos corps trahis, usés, fatigués, souillés ,spoliés,conquis, brûlés
notre chair, notre terre, notre chère liberté, des matières premières méprisées
dans un frisson soudain sans dessus dessous l’humain débarque débloque et se braque
mouvement silencé- terre imbibée
“Haut les coeurs, c’est le raz d’marée! “
c’est le déluge la mer nous déloge des marécages hors d'âge
On traverse on s’éclabousse des étreintes qui déroutent
des marées de passage des rivages carnages, des zones encore sauvages
à perte de vue nos corps glissent nos corps glissent glissent glissent glissent
c’est torrentiel dans les revers du tissu,
les racines dans le ciel et la transparence des feuillus
ton abysse garrigue est dévêtue dans notre danse montagne
le flux de tes plaines s’invite nos corps glissent
Félicité Bullot: chant, texte, guitare, beat box, looper
Loic Lechat: basse, stomp box, choeurs
Laura Arenas: Violon, choeurs
son et mixage: Florent Lambert/ Tam Tam Studio
Visuel: Géraldine Stringer
Enregistré à l’atelier de djamel/ Casa musicale perpignan (03/2024)
costume cratère sur desert d'eau douce
Ton corps image mon corps passage
Ton abysse aride en vue et mon corps ému
s’immiscent entre ombre et lumière
les effluves délices au delà des mots et matière
Sur lit de rivière docile, le décor effleure
Je m'habille de feuilles et marche sèche
c’est torrentiel dans les revers du tissu,
les racines dans le ciel et la transparence des feuillus
ton abysse garrigue est dévêtue dans notre danse montagne
le flux de tes plaines s’invite nos corps glissent
nos corps glissent glissent glissent glissent glissent glissent glissent
Lente désillusion d’un idéal irréel :
Une terre, nos corps trahis, usés, fatigués, souillés ,spoliés,conquis, brûlés
notre chair, notre terre, notre chère liberté, des matières premières méprisées
dans un frisson soudain sans dessus dessous l’humain débarque débloque et se braque
mouvement silencé- terre imbibée
“Haut les coeurs, c’est le raz d’marée! “
c’est le déluge la mer nous déloge des marécages hors d'âge
On traverse on s’éclabousse des étreintes qui déroutent
des marées de passage des rivages carnages, des zones encore sauvages
à perte de vue nos corps glissent nos corps glissent glissent glissent glissent
c’est torrentiel dans les revers du tissu,
les racines dans le ciel et la transparence des feuillus
ton abysse garrigue est dévêtue dans notre danse montagne
le flux de tes plaines s’invite nos corps glissent
Félicité Bullot: chant, texte, guitare, beat box, looper
Loic Lechat: basse, stomp box, choeurs
Laura Arenas: Violon, choeurs
son et mixage: Florent Lambert/ Tam Tam Studio
Visuel: Géraldine Stringer
Enregistré à l’atelier de djamel/ Casa musicale perpignan (03/2024)
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