La crise militaro-politique de 2002 a coupé la Côte d’Ivoire en deux. Tandis que la zone « CNO » (Centre, Nord et Ouest), contrôlée par la rébellion armée, était le théâtre des affrontements, la zone pro-gouvernementale, sous le contrôle des forces dites « loyalistes », connaissait un afflux de populations qui fuyaient les combats.
A partir des données des enquêtes sur le niveau de vie des ménages de 2002 et 2008, seule une analyse qui prenne en compte les « effets de contamination » (à savoir, les interactions entre ces deux zones par le biais des migrations, notamment) permet d’apprécier correctement l’évolution des inégalités dans le pays. Celles-ci se sont aggravées suite à la crise, comme le montre une étude du Laboratoire d’Analyse et de Modélisation des Politiques Economiques de Bouaké, qui sera présentée lors de ce séminaire.
· Animé par Linda ZANFINI, chargée de recherches à l’AFD
Intervenants :
· François Bédia AKA, professeur, Université de Bouaké
A partir des données des enquêtes sur le niveau de vie des ménages de 2002 et 2008, seule une analyse qui prenne en compte les « effets de contamination » (à savoir, les interactions entre ces deux zones par le biais des migrations, notamment) permet d’apprécier correctement l’évolution des inégalités dans le pays. Celles-ci se sont aggravées suite à la crise, comme le montre une étude du Laboratoire d’Analyse et de Modélisation des Politiques Economiques de Bouaké, qui sera présentée lors de ce séminaire.
· Animé par Linda ZANFINI, chargée de recherches à l’AFD
Intervenants :
· François Bédia AKA, professeur, Université de Bouaké
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