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"Ce sont des connes" : Michel Sardou explose et tacle les féministes dans "Sept à huit"
Article de Romain Fiaschetti
Entre Michel Sardou et les féministes, ce n’est pas l’amour fou et cela ne l’a jamais été. Et son passage à venir dans Sept à huit ne devrait pas arranger la situation. En effet, face à Audrey Crespo-Mara, le chanteur âgé de 78 ans a donné son avis sur celles-ci et a fait comprendre qu’il ne les portait pas dans son cœur. Il faut dire qu’entre les deux clans, le torchon brûle depuis un bon moment. Et la situation avait déjà commencé à empirer le 16 mars 2024. En effet, alors que l’interprète de La maladie d’amour ne croit pas plus au réchauffement climatique qu’aux mobilités douces ou à la nécessaire dénonciation des violences faites aux femmes, il faisait bondir les féministes l’an dernier lors de son concert à Paris La Défense Arena dans le cadre de sa tournée d’adieu.
Sur scène, Michel Sardou, en introduction de Je vais t’aimer, qualifiait ce morceau comme "une chanson qu’on ne pourrait plus écrire aujourd’hui". "Un jeune homme qui pose sa main sans son consentement sur la main d’une femme, c’est garde à vue direct. S’il a l’audace de vouloir poser sa main ailleurs, là, c’est Fleury-Mérogis ! J’en ai bien profité mais pour les jeunes de maintenant, ça ne va pas être de la tarte", lâchait-il devant son public.
Les féministes, des "connes" pour Michel Sardou.
Une déclaration sur laquelle a souhaité revenir Audrey Crespo-Mara. Dans son portrait de la semaine dans Sept à huit, la veuve de Thierry Ardisson rappelle en effet à son invité qu’il a "beaucoup chanté l'amour, l'acte d’amour". "Les féministes disent qu'elles vous trouvent sexistes, machistes. Est-ce qu'elles ont tort ?", lui demande-t-elle.
À quoi Michel Sardou répond avec franchise : "Oui, elles ont toujours tort, les féministes. Ouais, ouais. Je dis une chose sur scène, c'est comme une pièce de théâtre, je joue un rôle. Je ne suis pas exactement ce que je suis et je ne dis pas qui je suis. De plus, je peux avoir une position dans une chanson, puis le contraire dans la chanson qui suit". De fait, pour lui, "les féministes qui prennent ça au pied de la lettre, sont des connes".
Le chanteur tacle à nouveau Sandrine Rousseau
En ce qui concerne sa déclaration à la Défense Arena au sujet du consentement, Audrey Crespo-Mara a souhaité avoir l’avis de Michel Sardou sur un sujet clivant : peut-on rire de tout ? "On peut rire de tout. De tout. Là, ce qui m'est venu à l'esprit, c'est que je trouve qu'il y a le dérapage du féminisme Rousseau-in", déclare-t-il avant que la journaliste précise que l’allusion du chanteur concerne la députée Sandrine Rousseau, avec qui il n’entretient pas une relation cordiale.
C’est pourquoi, en répondant à la question posée par la veuve de Thierry Ardisson, Michel Sardou a tenté d’expliquer sa vision sur le sujet, et renvoyer un tacle à la femme politique. "Ouais, qui m'énerve. Je trouve que ça écarte la vie. Ça la coupe en deux. Moi, une femme, c'est ravissant, c'est tout ce que vous voulez, mais c'est aussi un copain, c'est aussi une amie, c'est aussi… C'est pas uniquement ses fesses qui m'intéressent, c'est tout. Ses yeux, vous comprenez ? Donc, je ris de ça parce qu'en fait, je me moque de Sandrine Rousseau, parce qu'elle m'énerve particulièrement", conclut-il au cours de son entretien à retrouver ce dimanche dans TF1.
"Ce sont des connes" : Michel Sardou explose et tacle les féministes dans "Sept à huit"
Article de Romain Fiaschetti
Entre Michel Sardou et les féministes, ce n’est pas l’amour fou et cela ne l’a jamais été. Et son passage à venir dans Sept à huit ne devrait pas arranger la situation. En effet, face à Audrey Crespo-Mara, le chanteur âgé de 78 ans a donné son avis sur celles-ci et a fait comprendre qu’il ne les portait pas dans son cœur. Il faut dire qu’entre les deux clans, le torchon brûle depuis un bon moment. Et la situation avait déjà commencé à empirer le 16 mars 2024. En effet, alors que l’interprète de La maladie d’amour ne croit pas plus au réchauffement climatique qu’aux mobilités douces ou à la nécessaire dénonciation des violences faites aux femmes, il faisait bondir les féministes l’an dernier lors de son concert à Paris La Défense Arena dans le cadre de sa tournée d’adieu.
Sur scène, Michel Sardou, en introduction de Je vais t’aimer, qualifiait ce morceau comme "une chanson qu’on ne pourrait plus écrire aujourd’hui". "Un jeune homme qui pose sa main sans son consentement sur la main d’une femme, c’est garde à vue direct. S’il a l’audace de vouloir poser sa main ailleurs, là, c’est Fleury-Mérogis ! J’en ai bien profité mais pour les jeunes de maintenant, ça ne va pas être de la tarte", lâchait-il devant son public.
Les féministes, des "connes" pour Michel Sardou.
Une déclaration sur laquelle a souhaité revenir Audrey Crespo-Mara. Dans son portrait de la semaine dans Sept à huit, la veuve de Thierry Ardisson rappelle en effet à son invité qu’il a "beaucoup chanté l'amour, l'acte d’amour". "Les féministes disent qu'elles vous trouvent sexistes, machistes. Est-ce qu'elles ont tort ?", lui demande-t-elle.
À quoi Michel Sardou répond avec franchise : "Oui, elles ont toujours tort, les féministes. Ouais, ouais. Je dis une chose sur scène, c'est comme une pièce de théâtre, je joue un rôle. Je ne suis pas exactement ce que je suis et je ne dis pas qui je suis. De plus, je peux avoir une position dans une chanson, puis le contraire dans la chanson qui suit". De fait, pour lui, "les féministes qui prennent ça au pied de la lettre, sont des connes".
Le chanteur tacle à nouveau Sandrine Rousseau
En ce qui concerne sa déclaration à la Défense Arena au sujet du consentement, Audrey Crespo-Mara a souhaité avoir l’avis de Michel Sardou sur un sujet clivant : peut-on rire de tout ? "On peut rire de tout. De tout. Là, ce qui m'est venu à l'esprit, c'est que je trouve qu'il y a le dérapage du féminisme Rousseau-in", déclare-t-il avant que la journaliste précise que l’allusion du chanteur concerne la députée Sandrine Rousseau, avec qui il n’entretient pas une relation cordiale.
C’est pourquoi, en répondant à la question posée par la veuve de Thierry Ardisson, Michel Sardou a tenté d’expliquer sa vision sur le sujet, et renvoyer un tacle à la femme politique. "Ouais, qui m'énerve. Je trouve que ça écarte la vie. Ça la coupe en deux. Moi, une femme, c'est ravissant, c'est tout ce que vous voulez, mais c'est aussi un copain, c'est aussi une amie, c'est aussi… C'est pas uniquement ses fesses qui m'intéressent, c'est tout. Ses yeux, vous comprenez ? Donc, je ris de ça parce qu'en fait, je me moque de Sandrine Rousseau, parce qu'elle m'énerve particulièrement", conclut-il au cours de son entretien à retrouver ce dimanche dans TF1.
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