Carmina burana Carl ORFF
I Primo Vere. Veris leta facies - Omnia sol temperat - Ecce gratum
Voici la version deux pianos et cinq percussions des Carmina Burana de Carl Orff.
Une œuvre magistrale du répertoire.
Une soirée exceptionnelle en collaboration avec Solidarité Grands Froids Bruxelles.
Aider les sans-abris à vivre dignement. C’est au quotidien que nous apportons une aide aux personnes en difficulté morale, physique ou sociale.
150 choristes, les solistes Rita Matos Alves, Berus Komarschela et Samuel Namotte ont été accompagnés par les deux pianistes Mariano Ferrandez, Bernard Guiot et Pentagramme ensemble de cinq percussions.
Les Carmina Burana de Carl Orff reprennent vingt‐quatre chants, encadrés par une invocation à Fortuna, déesse de la destinée et de la chance.
Ils sont organisés en trois grandes sections thématiques, le printemps, la taverne et l’amour : ce sont les thèmes favoris des goliards et des vagants, clercs restés laïcs.
– La gaieté bucolique du printemps est évoquée par l’unisson d’une litanie, avant l’appel joyeux de l’amour lancé par des cloches carillonnantes. Les dialogues cèdent la place à l’invocation bachique à la reine d’Angleterre, sans doute Aliénor d’Aquitaine, épouse du roi Henri II Plantagenêt, et initiatrice d’une des cours les plus célèbres de l’époque courtoise.
– L’esprit théâtral de la deuxième partie de l’œuvre, intitulée In Taberna, à la taverne, est truculent : elle débute par une confession satirique et, avec un plaisir effréné, professe la pravitas, la dépravation. Cette scène de ripailles culmine dans un chœur d’hommes entraînant, qui célèbre le plaisir de boire dans une exubérance orgiaque.
– Dans la troisième partie, la Cour d’amours, alternent et se mélangent l’innocence feinte et le raffinement, la plainte amoureuse et la quête de l’amour.
La reprise O Fortuna à la fin symbolise la roue du destin qui tourne sur elle‐même ; Orff l’avait découverte sous forme de miniature dans le recueil des Carmina Burana.
UN CONCERT INTÉGRALEMENT AU PROFIT DE SOLIDARITÉ GRANDS FROIDS
Notre mission principale, c’est « d’aider les sans-abris à vivre dignement ».
Nous aidons ces personnes en difficulté morale, physique ou sociale par l’organisation d’actions de récolte de fonds et de biens matériels redistribués aux démunis.
Nos actions quotidiennes touchent les sans-abris en région bruxelloise : tout au long de l’année, ils reçoivent vêtements, produits de soins, chaussures, un accès à un dispensaire de «premiers soins».
Une attention particulière est donnée aux enfants et aux femmes isolées, à la réinsertion des personnes précarisées.
Informations
laendimusic1020@gmail.com +32479 32 65 78 https://www.labadinerie.be/
I Primo Vere. Veris leta facies - Omnia sol temperat - Ecce gratum
Voici la version deux pianos et cinq percussions des Carmina Burana de Carl Orff.
Une œuvre magistrale du répertoire.
Une soirée exceptionnelle en collaboration avec Solidarité Grands Froids Bruxelles.
Aider les sans-abris à vivre dignement. C’est au quotidien que nous apportons une aide aux personnes en difficulté morale, physique ou sociale.
150 choristes, les solistes Rita Matos Alves, Berus Komarschela et Samuel Namotte ont été accompagnés par les deux pianistes Mariano Ferrandez, Bernard Guiot et Pentagramme ensemble de cinq percussions.
Les Carmina Burana de Carl Orff reprennent vingt‐quatre chants, encadrés par une invocation à Fortuna, déesse de la destinée et de la chance.
Ils sont organisés en trois grandes sections thématiques, le printemps, la taverne et l’amour : ce sont les thèmes favoris des goliards et des vagants, clercs restés laïcs.
– La gaieté bucolique du printemps est évoquée par l’unisson d’une litanie, avant l’appel joyeux de l’amour lancé par des cloches carillonnantes. Les dialogues cèdent la place à l’invocation bachique à la reine d’Angleterre, sans doute Aliénor d’Aquitaine, épouse du roi Henri II Plantagenêt, et initiatrice d’une des cours les plus célèbres de l’époque courtoise.
– L’esprit théâtral de la deuxième partie de l’œuvre, intitulée In Taberna, à la taverne, est truculent : elle débute par une confession satirique et, avec un plaisir effréné, professe la pravitas, la dépravation. Cette scène de ripailles culmine dans un chœur d’hommes entraînant, qui célèbre le plaisir de boire dans une exubérance orgiaque.
– Dans la troisième partie, la Cour d’amours, alternent et se mélangent l’innocence feinte et le raffinement, la plainte amoureuse et la quête de l’amour.
La reprise O Fortuna à la fin symbolise la roue du destin qui tourne sur elle‐même ; Orff l’avait découverte sous forme de miniature dans le recueil des Carmina Burana.
UN CONCERT INTÉGRALEMENT AU PROFIT DE SOLIDARITÉ GRANDS FROIDS
Notre mission principale, c’est « d’aider les sans-abris à vivre dignement ».
Nous aidons ces personnes en difficulté morale, physique ou sociale par l’organisation d’actions de récolte de fonds et de biens matériels redistribués aux démunis.
Nos actions quotidiennes touchent les sans-abris en région bruxelloise : tout au long de l’année, ils reçoivent vêtements, produits de soins, chaussures, un accès à un dispensaire de «premiers soins».
Une attention particulière est donnée aux enfants et aux femmes isolées, à la réinsertion des personnes précarisées.
Informations
laendimusic1020@gmail.com +32479 32 65 78 https://www.labadinerie.be/
- Catégories
- Cours de Batterie & Percussions
- Mots-clés
- La Badinerie, Carl ORFF, Laëndi
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