Ça dégénéré au tribunal : Me Alice Nkom gagne le procès face à Paul Atanga Nji, démission en cours

À VOTRE ATTENTION : La voix off a été générée par l'intelligence artificielle.
Montage et réalisation : l'équipe de CAMEROON
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Le 7 avril 2025, le Tribunal de Première Instance de Douala-Bonanjo a été le théâtre d’un moment historique et symbolique pour la justice camerounaise. Me Alice Nkom, figure emblématique des droits humains, répondait à une convocation émise par le Procureur, dans une affaire aux relents fortement politiques. Mais au lieu de céder à l’intimidation, elle s’est présentée debout, entourée de 17 avocats, dont le très respecté Me Akere Muna revenu d’Europe, et Lady Gladys Mbuya venue du Sud-Ouest. Ensemble, ils ont formé un front juridique et moral face à une tentative perçue comme une manœuvre de musellement, orchestrée en coulisses par le Ministère de l’Administration Territoriale (MINAT) dirigé par Atanga Nji.

Ce rendez-vous judiciaire s’est transformé en démonstration de force citoyenne et de résistance pacifique, relayée massivement sur les réseaux sociaux, et saluée par une large portion de l’opinion publique. L’intervention de Me Nkom, à travers une publication poignante, a exposé les enjeux du combat pour l’État de droit, la dignité, et l’indépendance du Barreau camerounais. Elle a mis en lumière un pouvoir de plus en plus nerveux face à l’éveil des consciences et à la montée des voix dissidentes. À l’horizon, le 2 juin est déjà annoncé comme un nouveau moment de vérité, dans un climat politique tendu, où les symboles de la justice instrumentalisée, du pouvoir autoritaire, et de la mobilisation populaire s'affrontent dans une lutte de fond pour le Cameroun de demain.

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