Nos cordiales salutations;adressent à vous. C’est un immense honneur que de nous tenir ici,
à l'occasion de la Mock COP 26, avec un énorme enthousiasme quant à l'assurance de savoir
que la voix de la jeunesse se fait entendre.
Notre pays, le Burkina Faso, se situe au cœur de l’Afrique Occidentale, dans la région Sub-
saharienne. Sa population, estimée à 20.000.000 d’habitants, est répartie sur une surface totale
de 274.472 km².
Au Burkina Faso, ce sont plusieurs problèmes qui menacent l'équilibre environnemental. Entre
autres, nous pouvons noter la sécheresse. Au cours des dernières décennies, notre pays a
connu une augmentation significative des épisodes de sécheresse, entraînant une diminution
des précipitations et une dégradation des sols. Par ailleurs, la FAO estime une progression
alarmante de cette dégradation à environ 360.000 hectares par an. Evidemment, les
conséquences sont désastreuses pour les populations rurales qui dépendent de l'agriculture
comme moyen de subsistance. Les récoltes sont compromises, ce qui entraîne une insécurité
alimentaire croissante.
De même, les inondations au cours de la saison pluvieuse sont une calamité. A la date du 10
Septembre 2020, on recensait déjà 5003 maisons détruites et endommagées cette même
année. (Source: Gouvernement Burkinabè).
Ainsi, face à cette crise climatique, il est crucial de sensibiliser la population et de promouvoir
l'éducation sur le sujet. C’est dans cette optique que nous, voix de la jeunesse Burkinabè,
avons formulé les solutions durables que voici :
● Renforcer les programmes scolaires en intégrant au curriculum national des cours sur
les enjeux climatiques, et sur les moyens individuels et collectifs d’agir au quotidien pour
le climat.
● Mener des campagnes de sensibilisation à grande échelle au travers de conférences,
ateliers, et théâtre-forums avec une concentration dans les zones rurales afin
d’encourager un débat collectif et inclusif autour de la crise climatique.
● Promouvoir des pratiques agro-écologiques plus durables, afin de préserver les sols et
les ressources en eau tout en améliorant les rendements agricoles.
● Encourager l'utilisation d'énergies renouvelables, telle que l'énergie solaire,
particulièrement dans les zones rurales.
En somme, la crise climatique au Burkina Faso nécessite une approche globale et une
sensibilisation accrue de la population. Par des programmes d'éducation et des campagnes de
sensibilisation, nous pouvons espérer un engagement à échelle nationale pour atteindre nos
objectifs.
à l'occasion de la Mock COP 26, avec un énorme enthousiasme quant à l'assurance de savoir
que la voix de la jeunesse se fait entendre.
Notre pays, le Burkina Faso, se situe au cœur de l’Afrique Occidentale, dans la région Sub-
saharienne. Sa population, estimée à 20.000.000 d’habitants, est répartie sur une surface totale
de 274.472 km².
Au Burkina Faso, ce sont plusieurs problèmes qui menacent l'équilibre environnemental. Entre
autres, nous pouvons noter la sécheresse. Au cours des dernières décennies, notre pays a
connu une augmentation significative des épisodes de sécheresse, entraînant une diminution
des précipitations et une dégradation des sols. Par ailleurs, la FAO estime une progression
alarmante de cette dégradation à environ 360.000 hectares par an. Evidemment, les
conséquences sont désastreuses pour les populations rurales qui dépendent de l'agriculture
comme moyen de subsistance. Les récoltes sont compromises, ce qui entraîne une insécurité
alimentaire croissante.
De même, les inondations au cours de la saison pluvieuse sont une calamité. A la date du 10
Septembre 2020, on recensait déjà 5003 maisons détruites et endommagées cette même
année. (Source: Gouvernement Burkinabè).
Ainsi, face à cette crise climatique, il est crucial de sensibiliser la population et de promouvoir
l'éducation sur le sujet. C’est dans cette optique que nous, voix de la jeunesse Burkinabè,
avons formulé les solutions durables que voici :
● Renforcer les programmes scolaires en intégrant au curriculum national des cours sur
les enjeux climatiques, et sur les moyens individuels et collectifs d’agir au quotidien pour
le climat.
● Mener des campagnes de sensibilisation à grande échelle au travers de conférences,
ateliers, et théâtre-forums avec une concentration dans les zones rurales afin
d’encourager un débat collectif et inclusif autour de la crise climatique.
● Promouvoir des pratiques agro-écologiques plus durables, afin de préserver les sols et
les ressources en eau tout en améliorant les rendements agricoles.
● Encourager l'utilisation d'énergies renouvelables, telle que l'énergie solaire,
particulièrement dans les zones rurales.
En somme, la crise climatique au Burkina Faso nécessite une approche globale et une
sensibilisation accrue de la population. Par des programmes d'éducation et des campagnes de
sensibilisation, nous pouvons espérer un engagement à échelle nationale pour atteindre nos
objectifs.
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