http://www.ediluz.fr/livre-venus-et-vestiges/
Textes d'Olivier Poupet / Photographies du recueil Ediluz Avenel
! Ediluz et Olivier seront en dédicaces de "Vénus et Vestiges" au cours du vernissage de l’exposition d’Ediluz, au centre culturel « Grain de sel » à Séné, dans le Morbihan, le 11 décembre. !
Et je sens ta présence avant de voir le jour
Avant d’ouvrir les yeux j’aperçois tes contours
Oh ce n’est pas un rêve je respire ton souffle
Oh ce n’est pas un songe cette peau qui me touche
Et même la lumière ne t’estompera pas
Toi qui dans les ténèbres es venue près de moi
Je secoue mes pensées
Démêle mes entrelacs
Je secoue mes pensées
Et toi tu restes là
Et je sens ta présence au bleu du petit jour
Et je vois ton image devant mes yeux toujours
J’ai respiré ton souffle comme la brise sur la grève
J’ai cueilli un baiser sur le bout de tes rêves
Un jour nouveau se lève et je suis près de toi
Il n’y a plus de ténèbres à l’aube de nos pas
Tu secoues mes pensées
Aux vagues de tes draps
Tu secoues mes pensées
Et restes dans mes bras
* * * * * * *
L’instant d’après, tu ris,
Me regardes et te lèves,
Tu traînes dans la chambre,
Comme une espiègle enfant.
Tu regardes au dehors, la pâle mélancolie,
T’amusant à l’idée qu’elle pourrait te voir.
Puis tu te penches sur moi, pour un autre baiser,
Plus tendre que jamais, comme s’il était dernier.
Et puis tu te rhabilles, il te faut te presser,
Revenir au réel, loin de notre secret.
Tu réarranges tes cheveux,
Renoircis le tour de tes yeux,
Je te regarde, triste et heureux,
Je te regarde encore un peu.
* * * * * * *
"En secret"
Dérobée aux regards,
Détournée de tes yeux,
En secret, je t’observe.
Je sais tes peines,
Je sais tes joies,
Tes rires et tes larmes,
Ces gens autour de toi,
Ces ombres qui t’entourent.
Je sais ce qui t’émeut
Et ce qui t’indiffère,
Et au fond de ton âme,
Tes rêves et tes enfers.
Je t’observe en secret,
Inaccessible amour,
Moi seule, je te connais,
Et tu ne le sais pas,
Moi seule, je te connais,
Toi, tu ne me vois pas.
* * * * * * *
« les abîmes »
Comme je t’aurais aimée sans ces profonds abîmes
Comme encore sur mes mots ton mirage s’imprime
Oh comme tes comètes ont ébranlé mon être
Oh comme j’aurais aimé en faire ma planète
Mon regard s’est pendu au rouge de tes lèvres
Et mon esprit se serre maudissant les ténèbres
Comme triste me rendent ces limbes violentes
Comme ma main voulait t’éloigner de ces pentes
Je reste prisonnier de ce rêve avorté
À contempler le vide comme une âme hébétée
Qui garde de ton être des images sublimes
Comme je t’aurais aimée sans ces profonds abîmes
#brèvesdepoésie
Retrouvez-moi sur :
- mon site internet : https://www.nicolasgranier.com/
- facebook : https://www.facebook.com/nicolasgranierauteur/
- instagram : https://www.instagram.com/nicolasgranierauteur/
Textes d'Olivier Poupet / Photographies du recueil Ediluz Avenel
! Ediluz et Olivier seront en dédicaces de "Vénus et Vestiges" au cours du vernissage de l’exposition d’Ediluz, au centre culturel « Grain de sel » à Séné, dans le Morbihan, le 11 décembre. !
Et je sens ta présence avant de voir le jour
Avant d’ouvrir les yeux j’aperçois tes contours
Oh ce n’est pas un rêve je respire ton souffle
Oh ce n’est pas un songe cette peau qui me touche
Et même la lumière ne t’estompera pas
Toi qui dans les ténèbres es venue près de moi
Je secoue mes pensées
Démêle mes entrelacs
Je secoue mes pensées
Et toi tu restes là
Et je sens ta présence au bleu du petit jour
Et je vois ton image devant mes yeux toujours
J’ai respiré ton souffle comme la brise sur la grève
J’ai cueilli un baiser sur le bout de tes rêves
Un jour nouveau se lève et je suis près de toi
Il n’y a plus de ténèbres à l’aube de nos pas
Tu secoues mes pensées
Aux vagues de tes draps
Tu secoues mes pensées
Et restes dans mes bras
* * * * * * *
L’instant d’après, tu ris,
Me regardes et te lèves,
Tu traînes dans la chambre,
Comme une espiègle enfant.
Tu regardes au dehors, la pâle mélancolie,
T’amusant à l’idée qu’elle pourrait te voir.
Puis tu te penches sur moi, pour un autre baiser,
Plus tendre que jamais, comme s’il était dernier.
Et puis tu te rhabilles, il te faut te presser,
Revenir au réel, loin de notre secret.
Tu réarranges tes cheveux,
Renoircis le tour de tes yeux,
Je te regarde, triste et heureux,
Je te regarde encore un peu.
* * * * * * *
"En secret"
Dérobée aux regards,
Détournée de tes yeux,
En secret, je t’observe.
Je sais tes peines,
Je sais tes joies,
Tes rires et tes larmes,
Ces gens autour de toi,
Ces ombres qui t’entourent.
Je sais ce qui t’émeut
Et ce qui t’indiffère,
Et au fond de ton âme,
Tes rêves et tes enfers.
Je t’observe en secret,
Inaccessible amour,
Moi seule, je te connais,
Et tu ne le sais pas,
Moi seule, je te connais,
Toi, tu ne me vois pas.
* * * * * * *
« les abîmes »
Comme je t’aurais aimée sans ces profonds abîmes
Comme encore sur mes mots ton mirage s’imprime
Oh comme tes comètes ont ébranlé mon être
Oh comme j’aurais aimé en faire ma planète
Mon regard s’est pendu au rouge de tes lèvres
Et mon esprit se serre maudissant les ténèbres
Comme triste me rendent ces limbes violentes
Comme ma main voulait t’éloigner de ces pentes
Je reste prisonnier de ce rêve avorté
À contempler le vide comme une âme hébétée
Qui garde de ton être des images sublimes
Comme je t’aurais aimée sans ces profonds abîmes
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