Belial (Chant Invocatoire 20)

Voici le chant invocatoire de Belial :

"Deux ailes noires, crachent la nuit,
Fendant les cieux, nuages de minuit.
Chargées de foudre, de haine solaire,
Colère sacrée, tempête guerrière.

La vie s’éteint d’un battement,
Un cri démon surgit du néant.
Inarticulé, sauvage, ancestral,
Un frisson s’élève : l’avatar infernal.

JE SUIS BELIAL
Champion sans idéal
JE SUIS BELIAL
Serviteur de la Reine Totale
JE SUIS L'ARSENAL.

Je cours dans l’ombre, route infinie,
Sous mes pas, des corps, des vies meurtries.
Le berger ? Un boucher divin,
Cloué sur sa croix, il prêche le venin.

Lirach Tasa Vefa Wehlc, Belial
Démon sans maître, feu royal.
Je marche couvert de cendres et de fiel,
Brûlant les trônes, crachant sur le ciel.
Lirach Tasa Vefa Wehlc, Belial

Sainte colère sur sang versé,
Sainte colère, l’opprimé est sacré.
Sainte colère, la Déesse m’a adoubé,
Sainte colère, je viens pour les venger.

JE SUIS BELIAL
Champion sans idéal
JE SUIS BELIAL
Serviteur de la Reine Totale
JE SUIS L'ARSENAL.

Je suis le loup qui bouffe les bigots,
Le Balrogg qui flambe la Gestapo.
Démon-montagne, j’écrase les fachos,
Dague incandescente plantée dans les machos.

Lirach Tasa Vefa Wehlc, Belial
Sous ton nom, j’abats les chacals.
Je frappe pour ceux qu’on piétine à genoux,
Je suis la lame dans l’œil du dieu fou.
Lirach Tasa Vefa Wehlc, Belial


JE SUIS BELIAL
Champion sans idéal
JE SUIS BELIAL
Serviteur de la Reine Totale
JE SUIS L'ARSENAL.

Je suis le fouet, l'épée en feu noir,
Venin pur de la veuve du soir.
Contre l’esclavage, je claque la messe noire,
Et sur l’abuseur, je lâche la peste noire.

Je ne suis pas un agneau mais un loup,
Le masque doux qui mord jusqu’au cou.
J’casse l’échine des maîtres et des rois,
J’ai l’anneau du gladiateur, gravé en moi.

Lirach Tasa Vefa Wehlc, Belial
Seigneur du chaos, sans tribunal.
Pas de pardon pour les abuseurs,
Pas de lumière pour les menteurs.
Lirach Tasa Vefa Wehlc, Belial

Sainte colère sur sang versé,
Sainte colère, l’opprimé est sacré.
Sainte colère, la Déesse m’a adoubé,
Sainte colère, je viens pour les venger.