Jean-Claude Pantel chante AVEUX
AVEUX (paroles)
Le passé qui revient, pour habiter ma vie,
Hante de souvenirs chaque heure d’aujourd’hui
Et si l’âge qui va a perdu en chemin
Du bonheur d’autrefois, la saveur, le parfum,
En un souffle qui passe,
J’en retrouve la trace…
Et je cours,
Et j’accours
« Te » chanter comme on chante sa première chanson,
Mon Amour,
Fil des jours
Qui sont tiens, qui sont miens, qui sont notre raison,
Raison d’être,
D’apparaître
À nos yeux de nouveau comme l’on s’est connus,
Le temps en ses complots quelquefois s’évertue
À suspendre son vol,
Ô poète exaucé !..
Et confond dans ce rôle
Être et avoir été…
Donnant à tes matins la couleur de mes joies,
Prêtant à mes chagrins tes larmes quelquefois,
Lorsqu’on te dit tendresse, tu épèles mon nom,
C’est bien quand on te blesse que s’épine mon front,
Ce pour que s’accomplisse
Le destin des complices…
Que nous sommes,
Bien en somme,
Depuis maintenant je ne sais plus bien combien
De refrains,
De quatrains,
S’étiolant, s’étoilant selon les lendemains
Capricieux,
Pernicieux,
Qui immiscent le doute pour mieux me faire croire
Que seule cette route peut conduire à l’espoir
De confondre deux voies
Jusqu’en un « au-delà »
Qui ne s’offre ici-bas
Qu’aux Amants de la Foi…
Et combien, par hasard, ont cru et croient encore
Déchirer les amarres m’arrimant à ton Port :
Quand tempêtent nos voix, que s’assombrit le ciel,
Quand le nid est au froid, que le verbe est au fiel,
Quand le chant du silence
Confine à l’indécence…
Si j’accepte
Tes préceptes,
Quand ta moralité mutile mes excès,
Dans l’attente
Que s’intente,
En ton nom, à mes actes un peu fous, un procès…
Si au seuil
De l’orgueil
Je demeure figé, piteusement muet,
Si mon regard rejoint le bout de mes souliers,
C’est vraisemblablement,
C’est essentiellement
Parce que tu es la seule
Que j’appelle… Maman !..
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
Arrangement : Jean-Luc SPAGNOLO
AVEUX (paroles)
Le passé qui revient, pour habiter ma vie,
Hante de souvenirs chaque heure d’aujourd’hui
Et si l’âge qui va a perdu en chemin
Du bonheur d’autrefois, la saveur, le parfum,
En un souffle qui passe,
J’en retrouve la trace…
Et je cours,
Et j’accours
« Te » chanter comme on chante sa première chanson,
Mon Amour,
Fil des jours
Qui sont tiens, qui sont miens, qui sont notre raison,
Raison d’être,
D’apparaître
À nos yeux de nouveau comme l’on s’est connus,
Le temps en ses complots quelquefois s’évertue
À suspendre son vol,
Ô poète exaucé !..
Et confond dans ce rôle
Être et avoir été…
Donnant à tes matins la couleur de mes joies,
Prêtant à mes chagrins tes larmes quelquefois,
Lorsqu’on te dit tendresse, tu épèles mon nom,
C’est bien quand on te blesse que s’épine mon front,
Ce pour que s’accomplisse
Le destin des complices…
Que nous sommes,
Bien en somme,
Depuis maintenant je ne sais plus bien combien
De refrains,
De quatrains,
S’étiolant, s’étoilant selon les lendemains
Capricieux,
Pernicieux,
Qui immiscent le doute pour mieux me faire croire
Que seule cette route peut conduire à l’espoir
De confondre deux voies
Jusqu’en un « au-delà »
Qui ne s’offre ici-bas
Qu’aux Amants de la Foi…
Et combien, par hasard, ont cru et croient encore
Déchirer les amarres m’arrimant à ton Port :
Quand tempêtent nos voix, que s’assombrit le ciel,
Quand le nid est au froid, que le verbe est au fiel,
Quand le chant du silence
Confine à l’indécence…
Si j’accepte
Tes préceptes,
Quand ta moralité mutile mes excès,
Dans l’attente
Que s’intente,
En ton nom, à mes actes un peu fous, un procès…
Si au seuil
De l’orgueil
Je demeure figé, piteusement muet,
Si mon regard rejoint le bout de mes souliers,
C’est vraisemblablement,
C’est essentiellement
Parce que tu es la seule
Que j’appelle… Maman !..
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
Arrangement : Jean-Luc SPAGNOLO
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