Le feu et la flamme
Anne Dressen, commissaire d’exposition, revient sur les principes et les enjeux de son approche curatoriale, notamment autour de l’exposition « Les Flammes, L’Age de la céramique » (visible jusqu’au 6 février 2022 au MAM de Paris) qui explore ce médium de manière transhistorique, à travers les questions de techniques, d’usages et de messages.
Associant des objets de typologies diverses, dans une scénographie assumant sa qualité de décor, elle entend faire émerger d’autres modes de monstrations et de narrations possibles, plus inclusives, et affirmer le lien entre la plasticité et le politique.
Anne Dressen est commissaire d’exposition à l’ARC, le département contemporain du Musée d’Art moderne de Paris.
Ses projets interrogent la place et le rôle des pratiques artistiques officieuses ou périphériques au regard des beaux-arts traditionnels, notamment autour du son, du clip vidéo, de la copie et de la reproduction, du pornographique, de l’artisanat ou du décoratif, en lien avec des problématiques relevant de l’histoire culturelle, matérielle, coloniale, et du genre.
Parmi ses expositions : « Off the Record » (2004), « Playback » (2007), « Sturtevant. The Razzle Dazzle of Thinking » (2010), « Seconde main » (2010), « La Demeure Joyeuse » (2012), « Carol Rama (2014), « Decorum. Tapis et tapisseries d’artistes » (2013), « MEDUSA, Bijoux et tabous » (2017) en collaboration avec Michele Heuzé et Ben Lignel, « Les Flammes, L’Age de la céramique » et « TRAVAUX 2003-2021. Gisele Vienne » (2021-2022).
Anne Dressen, commissaire d’exposition, revient sur les principes et les enjeux de son approche curatoriale, notamment autour de l’exposition « Les Flammes, L’Age de la céramique » (visible jusqu’au 6 février 2022 au MAM de Paris) qui explore ce médium de manière transhistorique, à travers les questions de techniques, d’usages et de messages.
Associant des objets de typologies diverses, dans une scénographie assumant sa qualité de décor, elle entend faire émerger d’autres modes de monstrations et de narrations possibles, plus inclusives, et affirmer le lien entre la plasticité et le politique.
Anne Dressen est commissaire d’exposition à l’ARC, le département contemporain du Musée d’Art moderne de Paris.
Ses projets interrogent la place et le rôle des pratiques artistiques officieuses ou périphériques au regard des beaux-arts traditionnels, notamment autour du son, du clip vidéo, de la copie et de la reproduction, du pornographique, de l’artisanat ou du décoratif, en lien avec des problématiques relevant de l’histoire culturelle, matérielle, coloniale, et du genre.
Parmi ses expositions : « Off the Record » (2004), « Playback » (2007), « Sturtevant. The Razzle Dazzle of Thinking » (2010), « Seconde main » (2010), « La Demeure Joyeuse » (2012), « Carol Rama (2014), « Decorum. Tapis et tapisseries d’artistes » (2013), « MEDUSA, Bijoux et tabous » (2017) en collaboration avec Michele Heuzé et Ben Lignel, « Les Flammes, L’Age de la céramique » et « TRAVAUX 2003-2021. Gisele Vienne » (2021-2022).
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