Mihály Munkácsy était déjà célèbre pour ses scènes de vie hongroise quand, en 1881, il décide de viser plus haut : peindre la vie du Christ.
Il quitte alors les intérieurs modestes qu’il maîtrisait pour s’attaquer à l’un des sujets les plus complexes de l’histoire de l’art : la Passion.
Sa trilogie monumentale — Le Christ devant Pilate, Golgotha, Ecce Homo — choque, fascine, divise.
L’artiste conquiert Paris, Vienne et Budapest. La foule se presse devant ses tableaux géants. Il est encensé comme un génie.
Mais derrière cette gloire se cache une lente descente aux enfers. Les œuvres deviennent de plus en plus sombres. Munkácsy s’isole. La dépression le ronge.
Il voulait toucher le divin… il s’est brûlé.
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Il quitte alors les intérieurs modestes qu’il maîtrisait pour s’attaquer à l’un des sujets les plus complexes de l’histoire de l’art : la Passion.
Sa trilogie monumentale — Le Christ devant Pilate, Golgotha, Ecce Homo — choque, fascine, divise.
L’artiste conquiert Paris, Vienne et Budapest. La foule se presse devant ses tableaux géants. Il est encensé comme un génie.
Mais derrière cette gloire se cache une lente descente aux enfers. Les œuvres deviennent de plus en plus sombres. Munkácsy s’isole. La dépression le ronge.
Il voulait toucher le divin… il s’est brûlé.
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